sentus

Dérivé de sent, avec le suffixe -us.

sentus \ˈsɛn.tys\

1. Obéissant.
   • Biskoaz en ho rouantelez nʼhoc’h eus kavet eur servijer ken sentus hag Alanig al Louarn. — (Jakez Riou, Troiou-kamm Alanig al Louarn 1, Gwalarn, 1936, page 53)

     Vous n’avez jamais trouvé dans votre royaume un serviteur aussi obéissant qu’Alanig le Renard.

• « sentek, sentus, hesent » dans François Vallée, Grand dictionnaire français-breton, Édition de l'Impression commerciale de Bretagne, Rennes, 1931-1933, 817 pages, page 504a
• Roparz Hemon, Nouveau dictionnaire breton français, Al Liamm, 6^e édition revue et augmentée, 1978, page 717b
• Martial Ménard, Dictionnaire français-breton, Éditions Palantines, 2012, ISBN 978-2-35678069-0, page 931a

sentus \ˈsen.tus\

1. Conditionnel du verbe senti (transitif).

De sentis (« épine »).

sentus \Prononciation ?\

1. Épineux.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• « sentus », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage