amine
Français
Étymologie
- (Nom commun 1) (1865)[1] De l’anglais amine attesté en 1863.
- (Nom commun 2) Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Nom commun 1
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| amine | amines |
| \a.min\ | |
amine \a.min\ féminin
- (Chimie organique) Composé organique dérivé de l’ammoniac où l’hydrogène est remplacé par un ou plusieurs radicaux hydrocarbonés.
Traitées par des acides dilués en ébullition elles donnent de l'urée et des corps à fonction amine et acides (amino-acides) tel que le glycocolle CH2AzH2.CO2H, la tyrosine amino-acide aromatique, etc.
— (Cousin et Serres, Chimie, physique, mécanique et métallurgie dentaires, 1911)Rappelons que pas tous les dérivés diphényl-aminés que l’on a essayé d’utiliser comme indicateurs internes dans les dosages nitritométriques ont aussi la propriété de se dénitroser en présence des amines aromatiques primaires (rosazurine, violet neutre, bleu de méthylalcali (19).
— (Chimie analytique, Société de Productions Documentaires, 1965, page 204)Le second groupe d'IBS comporte une fonction amine qui peut être protonée à des pH biologiques. Cette amine se trouve généralement inclus dans un hétérocycle qui peut être une morpholine (tridémorphe, fenpropimorphe) ou une pipéridine (fenpropidine) ; toutefois la spiroxamine est dépourvue d’hétérocycle azoté.
— (Philippe Lepoivre, Phytopathologie, De Bœck & Larcier, 2003, page 328)
Dérivés
- aminé
- amine aromatique
- aminoside
- cyclohexylamine
- diamine
- diaminé
- hexylamine
- triarylamine
Hyperonymes
Hyponymes
- amine aromatique
- aminoquinuride
- amodiaquine
- amopyroquine
- azacostérol
- glafénine
- nitrosamine
- phénéthylamine
- terbinafine
Vocabulaire apparenté par le sens
- ammonium (NH4+)
- ammoniaque (NH4+ + OH-)
- ammoniac (NH3)
- diazote (N2)
- dioxyde d’azote (NO2)
- nitrite (NO2-)
- nitrate (NO3−)
- monoxyde d’azote (NO)
- protoxyde d’azote (N2O)
- urée OC(NH2)2
Traductions
Nom commun 2
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| amine | amines |
| \a.min\ | |
amine \a.min\ féminin
Prononciation
- France (Alsace) : écouter « amine [Prononciation ?] »
- Somain (France) : écouter « amine [Prononciation ?] »
Homophones
Anagrammes
→ Modifier la liste d’anagrammes
Voir aussi
- amine sur l’encyclopédie Wikipédia
Références
- « amine », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
- ↑ « amine », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
Anglais
Étymologie
Nom commun
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| amine \ə.ˈmiːn\ |
amines \ə.ˈmiːnz\ |
amine \ə.ˈmiːn\
- (Biochimie) Amine.
Dérivés
Dérivés dans d’autres langues
Prononciation
- Varsovie (Pologne) : écouter « amine [Prononciation ?] »
Voir aussi
- amine sur l’encyclopédie Wikipédia (en anglais)
Références
- 1 2 (En anglais) Douglas Harper, Online Etymology Dictionary, 2001–2025 → consulter cet ouvrage
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Nom commun
| Singulier | Pluriel | |
|---|---|---|
| Masculin | amin \Prononciation ?\ |
amins \Prononciation ?\ |
| Féminin | amine \Prononciation ?\ |
amines \Prononciation ?\ |
amine \Prononciation ?\ féminin (graphie ABCD)
- Amie.
- (Par extension) Adepte.
- (Par extension) Adhérente.
- (Par extension) Copine.
Références
- Régis Auffray, Le petit Matao, Rue des Scribes, 2007, ISBN 978-2-906064-64-5, page 83
Néerlandais
Étymologie
- De l’anglais amine.
Nom commun
amine \Prononciation ?\
Taux de reconnaissance
- En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
- 47,6 % des Flamands,
- 41,1 % des Néerlandais.
Prononciation
- (Région à préciser) : écouter « amine [Prononciation ?] »
- (Région à préciser) : écouter « amine [Prononciation ?] »
Références
- ↑ Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal [≈ Reconnaissance du vocabulaire des Néerlandais et des Flamands 2013 : résultats de la grande enquête nationale sur les langues], Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 pages. → [archive du fichier pdf en ligne]