avalant

Du participe présent de avaler.

avalant \a.va.lɑ̃\

1. (Batellerie) Qui va vers l'aval du cours d’eau.
   • – D’où venaient les victimes ?
     – Des canaux du Centre, en passant par Nemours. Elles se dirigeaient vers la Seine. Elles étaient donc avalantes, comme on dit.
     – Et les montantes ?
     – Pas d’accident ! — (Georges Simenon, Les 13 Mystères, Fayard, 1932, réédition Le Livre de Poche, page 113)
   • Lorsque le chargement du bateau ou du convoi au moment de l'essai est inférieur à 70 %, le déplacement autorisé en navigation avalante doit être fixé en fonction du chargement effectif, pour autant que les valeurs limites visées au point 2 . — (Recommandations relatives à des prescriptions techniques harmonisées à l'échelle européenne applicables aux bateaux de navigation intérieure, résolution n^o 61, Éditions Nations Unies, Genève 2006)
   • Cette Marne avalante est une autre rivière, un cours d’eau inconnu, absolument nouveau. — (Jean-Paul Kauffmann, Remonter la Marne, Fayard, 2013, Le Livre de Poche, page 274)

avalant \a.va.lɑ̃\ masculin

1. (Marine) (Par extension) Bateau qui va vers l'aval.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

avalant \a.va.lɑ̃\

1. Participe présent de avaler.

• France (Lyon) : écouter « avalant [Prononciation ?] »

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• « avalant », dans Antoine de Rivarol, Dictionnaire classique de la langue française, 1827

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avalant \avalã\ masculin

1. Gorgée.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)