Saint-joseph (AOC)

Saint-joseph

Vignoble de l'appellation saint-joseph au-dessus du château de Tournon-sur-Rhône.

Désignation(s) Saint-joseph
Type d'appellation(s) AOC / AOP
Reconnue depuis 1956
Pays France
Région parente vignoble de la vallée du Rhône
Sous-région(s) vallée du Rhône septentrionale
Localisation Ardèche et Loire
Climat tempéré méditerranéen dégradé avec influence continentale
Sol légers de schistes et de gneiss
Superficie plantée 1 408 hectares (en 2024)[1]
Cépages dominants syrah N (pour le rouge) et marsanne B (pour le blanc)
Vins produits 86 % rouges et 14 % blancs
Production 51 500 hl (en 2024)[1]
Pieds à l'hectare minimum 4 500 pieds par hectare[2]
Rendement moyen à l'hectare 37 hl/ha en rouge et 36 en blanc (en 2024)[1]
Site web aoc-saint-joseph.fr

Le saint-joseph[3] est un vin d'appellation d'origine protégée produit sur près de 60 km sur la rive droite du Rhône[4], dans les départements de la Loire et de l'Ardèche. Il s'agit d'une appellation du vignoble de la vallée du Rhône, au sein des côtes du Rhône septentrionales, entre les aires de production du condrieu au nord et du cornas au sud.

Les autres AOC des côtes du Rhône septentrionales sont le côte-rôtie, le condrieu, le château-grillet, l'hermitage, le crozes-hermitage, le cornas et le saint-péray, ainsi que le côtes-du-rhône (ce dernier étant également présent dans les côtes du Rhône méridionales).

Le saint-joseph est composé exclusivement des cépages marsanne et roussanne pour le vin blanc, et principalement de syrah pour le vin rouge (avec la marsanne et la roussanne comme cépages accessoires).

Historique

Si les vins de Massalia remontaient le Rhône, voie de passage entre la Méditerranée et l’Europe du Nord, les vignobles ne se développèrent que sous la colonisation romaine. C'est entre Ampuis et Tournon, que les « vins de Vienne », acquirent leur renommée et s’exportèrent jusqu'à Rome[5].

Au Moyen Âge, les vins de Tournon et de Mauves sont connus jusqu'à Paris. La demande est telle qu'au XVIe siècle, des convois muletiers traversent les Cévennes et rejoignent la capitale pour être servis à la cour des Valois. C'est à cette époque que Jean Pelisson, principal du collège de Tournon, vante le vin de Mauves « si délicat et friand »[5]. Ce furent les Jésuites de Tournon qui, au XVIIe siècle, favorisèrent le nom de « Saint-Joseph », provenant du nom d'un coteau de dix hectares situé au sud de Tournon et qui leur appartenait[5].

En 1816, André Jullien le présente parmi les meilleurs vins rouges de l'Ardèche, juste après le cornas : « Saint-Joseph, près de Tournon, fournit des vins délicats, fins, agréables et assez spiritueux; ils sont bons à boire au bout de deux ou trois ans, et atteignent leur plus haut degré de qualité à la cinquième année ; mais ensuite ils déclinent »[6]. « Sara, Vion et Mauve, à deux ou trois lieues de Tournon, donnent des vins qui sont d'abord liquoreux, très-colorés et grossiers ; mais, en vieillissant, ils perdent leur douceur, deviennent spiritueux, et assez agréables comme vins d'ordinaire de seconde qualité »[7]. Dans le roman de Victor Hugo datant de 1862, Les Misérables, l'évêque de Digne en sert à Jean Valjean : le romancier le nomme encore « vin de Mauves »[5].

Création de l'appellation

En 1937, les vins de la vallée du Rhône sont officiellement reconnus comme ayant droit à l'appellation d'origine contrôlée (AOC) côtes-du-rhône ; l'hermitage, le crozes-hermitage et le cornas obtiennent la leur dès 1938 ; le côte-rôtie et le condrieu en 1940.

Il faut attendre le décret du pour la reconnaissance de l'appellation saint-joseph, couvrant initialement seulement six communes sur la rive droite (90 hectares sur Glun, Mauves, Tournon, Saint-Jean-de-Muzols, Lemps et Vion)[8]. Les vignobles de la vallée du Rhône sont alors en pleine déprise, remplacés par les vergers et l'urbanisation.

Évolutions

Par le décret du , l'aire d'appellation est étendue à un total de 26 communes, de Chavanay au nord jusqu'à Guilherand-Granges au sud, sur une aire totale de 6 844 ha potentiels. Cette étalement, comprenant notamment des parcelles planes en fond de vallée ou sur le plateau, permettant la mécanisation, entraîne une forte hausse du volume produit (qui passe de 3 672 hl en 1970 à 17 531 hl en 1986) mais aussi une réputation médiocre. En 1986, en réaction, le syndicat des vignerons demande à l'INAO une révision plus stricte de l'aire d'appellation. Par le décret du , cette aire est fortement réduite à 3 400 ha, excluant de nombreuses parcelles sur du plat et privilégiant celles sur les coteaux ; sur 755 ha en production, 170 sont exclus (mais continus à y avoir droit jusqu'à 2021)[9].

Le cahier des charges de l'appellation a été modifié en octobre 2009[10], en octobre 2011[11], en décembre 2018[12] et en juillet 2024[2].

Étymologie

L'étymologie de Saint-Joseph est tardive. Celle de Mauves, premier nom de ce vin, est plus ancienne : Malva, attestée en 1123. Elle dérive du latin malva (couleur mauve)[13].

Vignoble

Présentation

Image externe
Aire parcellaire de l'appellation

L'aire d'appellation est située dans la partie française de la vallée du Rhône, à 27 km en aval de Lyon, sur la rive droite entre les villes de Guilherand-Granges au sud et Chavanay au nord, avec au centre Andance. C'est une des appellations des côtes du Rhône septentrionales, entre les aires du condrieu au nord et du cornas au sud, s'étendant le long de la RN 86 sur près de 60 kilomètres.

L'aire d'appellation englobe un total de 26 communes du nord au sud du fleuve, dont 23 de l'Ardèche : Andance, Ardoix, Arras-sur-Rhône, Champagne, Charnas, Châteaubourg, Félines, Glun, Guilherand-Granges, Lemps, Limony, Mauves, Ozon, Peyraud, Saint-Désirat, Saint-Étienne-de-Valoux, Saint-Jean-de-Muzols, Sarras, Sécheras, Serrières, Talencieux, Tournon-sur-Rhône, Vion, et trois communes du département de la Loire : Chavanay, Malleval et Saint-Pierre-de-Bœuf[2].

Les quatre communes les plus au nord, Chavanay, Malleval, Saint-Pierre-de-Bœuf et Limony, sont en même temps dans l'aire d'appellation du condrieu.

Selon le service des Douanes, la superficie revendiquée en 2024 sous l'appellation est de 1 408 hectares, dont 1 209 ha pour produire du vin rouge (soit 93 % du total) et 199 ha pour du vin blanc[1].

Orographie et géologie

L'enquête réalisée par l'INAO, en 1986, a retenu sept terroirs distincts où se retrouvent des coteaux sur roches altérées, des terrasses alluviales anciennes et des cônes déjection des affluents du Rhône. Sauf cas exceptionnel, les terrasses alluviales récentes et les replats lœssiques ne sont généralement pas favorables à des vins de qualité. Mais les experts de l'INAO ont retenu, par exemple, le secteur des Oliviers à Tournon, où les vignes sur lœss remaniés permettent l'obtention d'excellents vins blancs[5].

Les vignes sont situées sur des sols légers de schiste et de gneiss dominant un socle granitique, avec une exposition sud et sud-est[5].

Climatologie

L'aire d'appellation bénéficie d'un climat tempéré à influences méditerranéennes, dont une des caractéristiques est le vent fréquent qui souffle le long du couloir rhodanien. Ce vent, lorsqu'il vient du nord, est baptisé mistral et a pour effet d'assécher l'air et d'apporter du beau temps et de la fraîcheur en été, mais une impression de froid glacial en hiver. Lorsqu'il provient du sud, il annonce généralement l'arrivée de perturbations orageuses ; il s'appelle alors « vent du midi » ou « vent des fous » car, pour certaines personnes, il rend l'atmosphère pénible à supporter, surtout en été.

À partir de cette latitude, l'influence du climat méditerranéen se fait directement sentir. L'ensoleillement annuel est élevé (environ 2 400 heures à Valence, (estimation de Météofrance). Les étés y sont chauds et secs. La température moyenne du mois de juillet est de 20 °C (Montélimar 23 °C). Les hivers froids sans excès s'inscrivent plutôt dans un climat de type semi-continental dégradé. La température moyenne du mois le plus froid (janvier) est ainsi de 3,5 °C. La pluviométrie annuelle est modérée : environ 629 mm. Les pluies sont particulièrement importantes à la fin de l'été (particulièrement en septembre à cause de l'effet cévenol ou orage cévenol qui déverse des trombes d'eau).

La station météorologique de Sablons (à 136 mètres d'altitude : 45° 19′ 46″ N, 4° 46′ 07″ E)[14] se situe au milieu de l'aire d'appellation du saint-joseph, mais dans le fond de vallée (alors que les vignes sont sur le coteau).

Relevés à Sablons de 1991 à 2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 0,7 3,1 5,9 9,9 13,4 14,9 14,5 11,2 8,4 4,2 1,5 7,4
Température moyenne (°C) 4,5 5,6 9,4 12,6 16,8 20,6 22,6 22,2 18 13,9 8,5 5,1 13,3
Température maximale moyenne (°C) 8,4 10,5 15,7 19,2 23,6 27,8 30,2 29,9 24,9 19,3 12,7 8,8 19,2
Nombre de jours avec gel 14,3 13,5 7,8 1,7 0 0 0 0 0 1,1 6 12,2 56,6
Précipitations (mm) 51,2 37,8 45 62,1 73,9 65,4 67,6 62,5 83,8 107 99,4 49,5 805,2
Source : Météo-France[15].
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
8,4
0,7
51,2
 
 
 
10,5
0,7
37,8
 
 
 
15,7
3,1
45
 
 
 
19,2
5,9
62,1
 
 
 
23,6
9,9
73,9
 
 
 
27,8
13,4
65,4
 
 
 
30,2
14,9
67,6
 
 
 
29,9
14,5
62,5
 
 
 
24,9
11,2
83,8
 
 
 
19,3
8,4
107
 
 
 
12,7
4,2
99,4
 
 
 
8,8
1,5
49,5
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Encépagement

Le rouge est élaboré à base de syrah, roussanne ou marsanne (10 %) et le blanc mêle roussanne et marsanne.

Cépage Encépagement des crus des côtes du Rhône septentrionaux
condrieu[16] et
château-grillet[17]
cornas[18] côte-rôtie[19] hermitage[20] et crozes-hermitage[21] saint-joseph[2] saint-péray[22]
rouge blanc rouge blanc
marsanne
et roussanne
max. 15 % 100 % max. 10 % 100 % 100 %
syrah 100 % min. 80 % min. 85 % min. 90 %
viognier 100 % max. 20 %

Méthodes culturales

D’une superficie de 795 hectatres à la fin du XXe siècle, ce terroir produisait 25 681 hectolitres pour un rendement fixé à 40 hl/ha. En 2005, 1 082 ha en culture ont produit 39 171 hl de vin, dont plus de 90 % de vin rouge. Comme leurs collègues des autres appellations voisines, les vignerons ont obtenu, en 1980, le droit d’intégrer dans les moûts de syrah un faible pourcentage (10 %) de roussanne et de marsanne, apport d’usage immémorial qui affine la puissance de ce grand vin rouge. Il est cuvé dans les traditionnelles cuves en bois dont la contenance varie entre 100 et 150 hectolitres.

Vins

Les données de production des années récentes, telles que publiées par les Douanes, sont[1] :

Année saint-joseph rouge saint-joseph blanc
superficie (ha) production (hl) rendement (hl/ha) superficie (ha) production (hl) rendement (hl/ha)
2020 1 166 44 922 39 173 6 719 39
2021 1 199 47 508 40 187 7 510 40
2022 1 158 44 958 39 190 6 821 36
2023 1 178 44 401 38 196 7 520 38
2024 1 209 44 350 37 199 7 149 36

Vinification et élevage

Gastronomie

De robe pourpre soutenue, le rouge, vin fin, équilibré et élégant où domine la syrah, dégage au nez des arômes de cassis et de framboise qui évoluent vers des notes de réglisse et de cuir.

Le blanc, où s’assemblent marsanne et roussanne, se présente dans une belle robe jaune aux reflets verts. Sa vinification se fait en cuve inox ou métallique. Ce vin distingué et délicat, d’une grande harmonie, dégage des arômes marqués par leur floralité où se retrouvent des touches de miel et d’acacia.

Ces grands vins du Vivarais sont devenus la coqueluche des bouchons lyonnais. Les rouges tendent vers le pourpre tandis que les blancs s’habillent d’une robe jaune-vert brillante. Les premiers, au subtil parfum de cassis et de framboise se nuançant de cuir et de réglisse avec l’âge, ont une bouche toute en finesse, de style harmonieux et souple. La belle floralité des blancs, frais et élégants, est marquée par des notes gracieuses de miel et d’acacia qui s'extériorisent grâce à une intéressante longueur en bouche.

Millésimes

Ils correspondent à ceux du vignoble de la vallée du Rhône. Ils sont notés : année exceptionnelle , grande année , bonne année ***, année moyenne **, année médiocre *.

Millésimes 2000
2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000
Caractéristiques *** *** ***
Millésimes 1990
1999 1998 1997 1996 1995 1994 1993 1992 1991 1990
Caractéristiques *** *** ** *** ** ** ** ***
Millésimes 1980
1989 1988 1987 1986 1985 1984 1983 1982 1981 1980
Caractéristiques *** ** ***
Millésimes 1970
1979 1978 1977 1976 1975 1974 1973 19722 1971 1970
Caractéristiques ** *** *** ** **
Millésimes 1960
1969 1968 1967 1966 1965 1964 1963 1962 1961 1960
Caractéristiques ** * *** *** ** ** ***
Millésimes 1950
1959 1958 1957 1956 1955 1954 1953 1952 1951 1950
Caractéristiques *** **
Millésimes 1940
1949 1948 1947 1946 1945 1944 1943 1942 1941 1940
Caractéristiques ** ** **
Millésimes 1930
1939 1938 1937 1936 1935 1934 1933 1932 1931 1930
Caractéristiques * *** ** ** ** **
Millésimes 1920
1929 1928 1927 1926 1925 1924 1923 1922 1921 1920
Caractéristiques ** ** **
Sources : Yves Renouil (sous la direction), Dictionnaire du vin, Éd. Féret et fils, Bordeaux, 1962 ; Alexis Lichine, Encyclopédie des vins et alcools de tous les pays, Éd. Robert Laffont-Bouquins, Paris, 1984, Les millésimes de la vallée du Rhône & Les grands millésimes de la vallée du Rhône

Soit sur 90 ans, 24 années exceptionnelles, 26 grandes années, 16 bonnes années, 22 années moyennes et 2 années médiocres.

Commercialisation

Un négociant, la firme Guigal, dont les établissements sont situés à Ampuis, met en bouteilles et commercialise une cuvée produite sur le lieu-dit Saint-Joseph sous sa marque « Vignes de l'Hospice ».

La cave coopérative de Saint-Désirat produit environ 50 % de l'appellation saint-joseph. Cette production concerne essentiellement des vins rouges, mais également une petite quantité de saint-joseph blanc.

Notes et références

  1. « Portail de la Direction Générale des Douanes et Droits Indirects : superficies et volumes en production par produit », sur douane.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Cahier des charges de l'appellation d'origine contrôlée « SAINT-JOSEPH » » [PDF], homologué par l'arrêté du publié au JORF du .
  3. Le nom d'un vin est un nom commun, donc ne prend pas une majuscule, cf. les références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine.
  4. Cf. ; https://www.aoc-saint-joseph.fr/terroir-saint-joseph.html
  5. Histoire, vignoble, terroirs et domaines du Saint-Joseph historique sur www.vin-terre-net.com
  6. André Jullien, Topographie de tous les vignobles connus, suivie d'une classification générale des vins, Paris, Mme Huzard : L. Colas, , 566 p. (BNF 30667644), p. 239, lire en ligne sur Gallica.
  7. Jullien 1816, p. 240.
  8. « Décret du 15 juin 1956 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Saint-Joseph » », publié au JORF du p. 5478.
  9. Gilbert Fribourg, « Révision de l'aire de production délimitée de l'AOC Saint Joseph » [PDF], sur ives-openscience.eu, (consulté le ).
  10. « Décret n° 2009-1320 du 28 octobre 2009 relatif aux appellations d'origine contrôlées « Château-Grillet », « Condrieu », « Cornas », « Côte Rôtie », « Saint-Joseph », « Saint-Péray » et « Hermitage » ou « Ermitage » ou « l'Hermitage » ou « l'Ermitage », « Lirac », « Pierrevert » », publié au JORF no 0251 du .
  11. Décret n° 2011-1375 du 25 octobre 2011 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Saint-Joseph », publié au JORF no 0251 du .
  12. « Cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « SAINT-JOSEPH » », modifié par l'arrêté du publié au JORF du .
  13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1842.
  14. « 38349001 – SABLONS – RUE-ROBINSON » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr.
  15. « Fiche 38349001 Sablons » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr.
  16. « Cahier des charges de l'appellation d'origine contrôlée « CONDRIEU » » [PDF], homologué par l'arrêté du .
  17. « Cahier des charges de l'appellation d'origine contrôlée « Château-Grillet » » [PDF], homologué par l'arrêté du .
  18. « Cahier des charges de l'appellation d'origine protégée « CORNAS » » [PDF], homologué par l'arrêté du .
  19. « Cahier des charges de l'appellation d'origine contrôlée « CÔTE RÔTIE » » [PDF], homologué par l'arrêté du publié au JORF du .
  20. « Cahier des charges de l'appellation d'origine contrôlée « HERMITAGE » ou « L'HERMITAGE » ou « ERMITAGE » ou « L'ERMITAGE » » [PDF], homologué par l'arrêté du .
  21. « Cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « CROZES-HERMITAGE » ou « CROZES-ERMITAGE » » [PDF], homologué par l'arrêté du .
  22. « Cahier des charges de l'appellation d'origine contrôlée « SAINT-PÉRAY » » [PDF], homologué par l'arrêté du .

Voir aussi

Bibliographie

  • Lionel Pinot (photogr. Clay McLachlan), Les plus grands vins du Rhône Nord : Côte-Rôtie, Condrieu, Château-Grillet, Saint-Joseph, Hermitage, Brézème, Crozes-Hermitage, Cornas, Saint-Peray, Côtes-du-Rhône, Vitis Vienna, Paris, Flammarion, , 166 p. (ISBN 978-2-08-026429-9).

Liens externes

Articles connexes

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