Pauline Delacroix-Garnier

Pauline Delacroix-Garnier
Portrait de l'artiste par Wilhelm Benque (1897).
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Pauline Élisabeth Garnier
Nationalité
Activités
Période d'activité
Fratrie
Conjoint
Henry-Eugène Delacroix (à partir de )
Autres informations
Membre de
Maîtres
Genres artistiques
Distinction
1er prix de l'Union des femmes peintres et sculpteurs (1896),
Officier d'Académie (1897)
Œuvres principales
"Quinte et Quatorze" (1897)
Signature

Pauline Garnier, née le à Passy et morte le à Paris 15e, est une peintre et aquarelliste française. Pauline Delacroix-Garnier réalise des portraits, des scènes de genre, des paysages et des nus . Elle est de 1894 à 1900 vice-présidente de l'Union des femmes peintres et sculpteurs.

Biographie

Famille

Pauline Élisabeth Garnier[n 1] naît en 1859 à Passy de Julienne Marguerite Hanotin et de Louis Jules Garnier. Son père décède en 1872. Elle est la sœur cadette de Jules-Arsène Garnier (1847-1889) qui lui apprend l'aquarelle. Elle épouse le peintre Henry-Eugène Delacroix (1845-1930), ami de son frère, à Suresnes le [2]. Sa soeur aînée Marguerite épouse quelques mois plus tôt le peintre Édouard Debat-Ponsan. Pauline aura deux garçons, Paul (1881-1918) et Jean (1894-1979)[3].

Henry-Eugène Delacroix et Pauline Delacroix-Garnier partagent leur atelier et enseignent conjointement. Dans la décennie 1880, Pauline dirige la section de peinture et de dessin pour filles au sein de l'atelier de son mari à l'Académie de Valenciennes. En 1890, le couple s'installe au 69 boulevard Saint-Jacques à Paris (14e), puis en 1891 ouvre un atelier commun dans leur logement au 22 rue de Douai à Paris (9e)[4]. De 1893 à 1897, Pauline dirige également le cours pour jeunes filles et dames au 30 rue du Faubourg-Saint-Honoré (12 cité du Retiro, 8e) où son mari est aussi professeur [3].

En 1887, Henry-Eugène hérite d'une propriété près de Toulouse, où ils font dès lors de nombreux séjours.

Carrière et implication au sein de l'Union des femmes peintres et sculpteurs

Pauline Delacroix-Garnier expose au Salon de peinture et de sculpture dès 1879 puis au Salon des artistes français de 1880[5] jusqu'à son décès en 1912.

Les couples de peintres Demont-Breton et Delacroix-Garnier sont amis ; ils se retrouvent parfois à Wissant où les premiers habitent, et côtoient les artistes du Nord de la France. Pauline Delacroix-Garnier devient vice-présidente en 1894 de l'Union des femmes peintres et sculpteurs, Virginie Demont-Breton étant présidente. Elle s'implique en particulier dans les actions de l'Union auprès des pouvoirs publics pour la promotion du salon[6]. En 1896, les Delacroix-Garnier et les Demont-Breton rendent visite ensemble à Rosa Bonheur à By près de Fontainebleau, l'artiste venait d'accepter d'être présidente d'honneur de l'Union et souhaitait rencontrer des artistes femmes[7].

Édouard Maugendre-Villers réalise le buste en plâtre de Pauline Delacroix-Garnier en 1889[8].

En 1894, elle reçoit le prix d'esquisse Ocampo à l'Union des femmes peintres et sculpteurs[n 2]. En 1895, elle obtient une mention honorable au Salon[10]. En 1896, elle est la première lauréate du 1er prix de l'Union des femmes peintres et sculpteurs (prix faisant suite à l'ancien grand prix Hélène Bertaux). En 1897, l'Académie des Beaux-Arts lui décerne son prix de peinture Eugène-Piot pour Heureuse mère[11], et elle est nommée Officier d'Académie[12]. En 1900, elle est médaille de bronze à l'Exposition universelle. Elle obtient de nombreuses récompenses dans les salons de province[3].

En 1900, Virginie Demont-Breton aurait souhaité que Pauline Delacroix-Garnier lui succède à la présidence de l'Union des femmes peintres et sculpteurs, mais cette dernière s'efface devant la nouvelle candidature de la duchesse d'Uzès, et démissionne de la vice-présidence[13],[14] ; en 1901, elle réalise cependant un portrait de la duchesse[15]. En 1901 puis 1911, elle est réélue au Comité de l'Union[16]. Souffrante depuis plusieurs années, elle doit se faire opérer une première fois début 1904[3].

En 1909, son nu Matin d'été reçoit une médaille de troisième classe au Salon[3].

Elle meurt début 1912, à 52 ans, des suites d'une nouvelle intervention chirurgicale, à la clinique Blomet dans le 15e arrondissement[17]. Elle est inhumée au cimetière de Suresnes[3] le jour de l'ouverture du Salon qui expose ses dernières œuvres[5].

Œuvre

Elle réalise essentiellement des portraits, des scènes de genre et des paysages. « Ses peintures célèbrent la joie de la maternité et de la vie domestique, mais elle produit également des portraits et des sujets moins féminins », selon le Bénézit[18]. Dans son Déjeuner sur l'herbe de 1883 (connu aussi sous le nom de La demande en mariage), le critique décrit sa technique : « Le tableau est brossé à larges coups de pinceau, et vu de près il semble presque imparfaitement fini. Il faut s'en éloigner d'une douzaine de pas pour l'apprécier ; alors il prend sa véritable valeur : les personnages de la scène, grâce à l'habile emploi des couleurs, se séparent nettement (…) »[19]. Mais la critique conservatrice des salons jugera parfois ses plein air « fantaisistes »[20].

Son tableau "Quinte et Quatorze" est remarqué au Salon de 1897 : « Cette scène et ces physionomies nous sont familières. Le gros joueur triomphant et ses adversaires sont tout aux délices du café, du jeu et du tabac, en cette douce après-midi d'été où la verdure dort dans la bonne chaleur du soleil. Il y a du bien-être et de l'intimité dans cette composition. Et Mme Delacroix-Garnier l'a traitée avec une vigueur et une application rares dans les œuvres féminines »[21],[n 3],[22].

Au Salon de 1903, Jeunesse qui passe retient particulièrement l'attention de la critique : « (…) mais l'heure est brève, et elles ne le savent pas, et c'est dans cette ignorance, visible, grâce à l'art si subtil de l'auteur, que réside la mélancolie charmante de cette œuvre »[23].

Elle peint plusieurs nus à la fin des années 1900 et au début des années 1910 : Matin d'été ; "Surprise", « Nymphe contemplée par un jeune Ægypan, dans sa couleur délicatement nacrée et son dessin élégant » en 1910, et "Frisson" qui est sa dernière œuvre exposée, en 1912[3],[24].

Elle fait partie de ces nombreuses femmes peintres reconnues de leur vivant, mais dont le travail a souvent été minoré, voire effacé a posteriori[25].

Salons

  • 1879 : Portrait de Mme de D. M…[5],[26]
  • 1880 : Un auditeur complaisant et Le lion devenu vieux
  • 1883 : Une bonne prise
  • 1884 : Portrait de Mme M. R…
  • 1885 : Portrait de Mlle D…
  • 1886 : Portrait de M. J. Garnier
  • 1888 : Portrait de M. Charles Delame
  • 1889 : Portrait de Mme Maugendre-Villiers
  • 1890 : Une tricoteuse (aquarelle)
  • 1891 : "Marie la jardinière"[27] et Musique de chambre (aquarelle)
  • 1892 : Portrait de M. D…, secrétaire général du Sénat[n 4] et Portrait de M. N. M…
  • 1893 : Portrait de Monchicourt, liquidateur du Panama, Plage de Mers[28], Un reître Louis XIII (aquarelle) et La toilette des fleurs (aquarelle)
  • 1894 : Portrait de Mlles Fondi de Niort, Une liseuse et Une Parisienne fin de siècle (aquarelle)
  • 1895 : Deux sourires (mention honorable)[10],[29],[n 5]
  • 1896 : Loin de Paris et Près d'un berceau (aquarelle)
  • 1897 : "Quinte et quatorze" ; partie de piquet, Une czarda (aquarelle) et Une odalisque (aquarelle)
  • 1898 : Heureuse mère, Une liseuse[30] et Vingt portraits des artistes français ayant obtenu la médaille d'honneur (aquarelle)
  • 1899 : Les joies maternelles et Portrait Mme la baronne de M…
  • 1900 : Tentation
  • 1901 : Portrait de Mme la duchesse d'Uzès, douairière, Portrait de Mme Albert West et Soubrette Louis XVI (aquarelle)
  • 1902 : Portrait de J. J. Masset, ancien professeur au Conservatoire, Fleurs d’appartement (aquarelle) et Jeune fille au rouet (aquarelle)
  • 1903 : Jeunesse qui passe[31] et Portrait de M. le marquis Guy de Charnac
  • 1904 : Portrait de Mme Hubbard
  • 1905 : Le matin et La vieille Jeannette
  • 1907 : Portrait de "Bertrande" et Portrait de Mlle de P…
  • 1908 : Portrait de Mme M. B…[32]
  • 1909 : Matin d'été[33],[24]
  • 1910 : "Surprise"[24],[34]
  • 1911 : Portrait de Lucien Hesse et Portrait de Mme Z…
  • 1912 : "Frisson"[35] et Portrait de la comtesse Antonelli
  • 1890 : Roses et Fleurs d'été, aquarelles[36]

Salon de l'Union Artistique de Toulouse

  • 1891 : Tête d’étude et La petite tricoteuse (aquarelle)
  • 1893 : Musique de chambre (aquarelle)
  • 1895 : La plage de Mers et Le puits qui parle
  • 1896 : Étude de fillette (aquarelle) et La dernière goutte (aquarelle)
  • 1897 : Jeune liseuse et Mutinerie
  • 1898 : "Quinte et quatorze" ; partie de piquet
  • 1899 : Une liseuse, "Carmencita" (aquarelle), Raisins (aquarelle) et La laveuse (aquarelle)
  • 1906 : Portrait (pastel)
  • 1909 : Portrait de Mme C***
  • 1892 : La plage de Mers (Mers-les-Bains), Portrait de Mme B…, Liseuse et Jardinière[37]
  • 1893 : (paysage)[38]
  • 1895 : (portrait)[39]
  • 1896 : Loin de Paris (1er prix de l'Union)[40],[n 6]
  • 1897 : "Quinte et quatorze"[41]
  • 1898 : L'heure de repos (huile) et Une Laveuse (aquarelle)[42],[43]
  • 1899 : Portrait de Mme la baronne de M…[44]
  • 1900[45]
  • 1901 : (peinture)[46]
  • 1902 : (aquarelles et portrait)[47]
  • 1903 : Portrait du marquis de Charnacé[48]
  • 1904[49]
  • 1906 : Portrait de Mme M…[50]
  • 1908 : (portraits)[51]
  • 1909[52]
  • 1910 : (tête d'enfant)[53]
  • 1911 : (portrait)[54]
  • 1912 : Portrait de la comtesse A…[55]

Autres salons en province ou à l'étranger

  • Amiens, exposition de la Société des amis des arts (médaille de vermeil en 1899[3], médaille d'or en 1905[56])
  • Arras, exposition de l'Union artistique du Pas-de-Calais, 1893 (Étude de jeune fille et Cendrillon) et 1899 (Une liseuse)[3]
  • Berlin, exposition française artistique de 1899 (Portrait de Mme la baronne de M…)[57]
  • Carcassonne, 1894 (La plage de Mers, près Le Tréport et Le reitre Louis XIII, aquarelle)[5]
  • Fourmies, 1910 (Fillette en capeline rose et Une petite servante[3] ; médaille d'or[58])
  • Honfleur, 1899 (Plage de Mers (près Le Tréport))[5]
  • Lille, exposition de la Société des amis des Beaux-Arts (médaille de 1re classe en 1902)[3]
  • Londres, exposition franco-britannique, 1908 (Portait de Bertrande)[59]
  • Lyon, 1896 (La becquée)[60]
  • Mulhouse, 1908 (Jeunesse qui passe)[3],[5]
  • Société artistique de Roubaix-Tourcoing, 1910 (art décoratif)[61]
  • Rueil, exposition des Beaux-Arts, 1893 (Sur la terrasse de Smyrne et Le puits qui parle)[62],[3]
  • Saint-Quentin, 1879 (Un auditeur complaisant)[63]
  • Tourcoing, exposition internationale des Beaux-Arts, en 1906[64]
  • Valenciennes, 1890 (Jardinière et Jardinier)[3]
  • Versailles, exposition de la Société des amis des arts de Seine-et-Oise, 1896 (Portrait de Mr X…)[65]

Prix et récompenses

Publications

dans Cours d'aquarelle en deux états, 1898 (lithographies).
  • Cours gradué d'aquarelle en deux états, Paris, Librairie Renouard / H. Laurens Éditeur, 1898[66],[67].
  • Cours d'aquarelle, en trois états, sans professeur, 1904[n 8],[68].

Œuvres dans les collections publiques

Exposition rétrospective

Galerie d'œuvres

Iconographie

Notes et références

Notes

  1. Pauline Elisabeth Garnier sur l'acte de naissance de l'état-civil reconstitué de Paris et sur l'acte de mariage, mais Pauline Charlotte Garnier sur l'acte de naissance de son fils Jean[1].
  2. Pauline Delacroix-Garnier entame une procédure contre l'UFPS pour obtenir ce prix, d'abord remis à Blanche Moria. Elle avait selon elle été primitivement désignée par le jury. Au terme d'un arrangement, il y aura deux prix Ocampo en 1894[9].
  3. Il s'agit des portraits de trois habitants de Toulouse réunis dans la maison de l'un deux à L'Ardenne ; le joueur de gauche est représenté sur un autre portrait de P. Garnier-Delacroix la même année, dédicacé par l'artiste (Monsieur de Vure ?), site en ligne.
  4. Il s'agit de Joseph Élisée Descombes (1833-1916).
  5. Il s'agit de la mère et du fils, Jean, de l'artiste.
  6. Le tableau représente le couple d'artistes avec leur second bébé.
  7. Pauline Delacroix-Garnier entame une procédure contre l'UFPS pour obtenir ce prix, d'abord remis à Blanche Moria. Elle avait semble-t-il été primitivement désignée par le jury. Au terme d'un arrangement, il y aura deux prix Ocampo en 1894[9].
  8. La 3e série, Paysages, paraît en 1904.
  9. Ce grand tableau avec 25 portraits, acquis par la ville de Valenciennes, est présumé détruit lors de l'incendie de 1940.

Références

  1. Archives départementales du Nord, naissances, Valenciennes 1881-1882, acte n° 295 (vue 108/484).
  2. Archives départementales des Hauts-de-Seine, Suresnes, mariages 1878, acte 51, vue 58/63 en ligne.
  3. Claudine Pardon, Henry-Eugène Delacroix, artiste-peintre 1845-1930, Association pour l'Étude et la Préservation du Patrimoine de Solesmes, Daubour, Solesmes, 2021.
  4. André Roussard, Dictionnaire des peintres à Montmartre aux XIXe et XXe siècles, Éd. Roussard Montmartre, Paris, 1999, p. 179.
  5. Base de données « Salons et expositions de groupes 1673-1914 », salons.musee-orsay.fr, un projet du musée d'Orsay et de l'Institut national d'histoire de l'art soutenu par le Ministère de la Culture et de la communication, consulté le 24/03/2025.
  6. La Petite presse du 29 janvier 1897 sur Gallica.
  7. Virginie Demont-Breton, Les maisons que j'ai connues, tome 3, Plon, Paris 1929 sur Gallica.
  8. L'Écho de la vallée de Bray du 18 mai 1889 sur Gallica.
  9. Compte-rendus des travaux de la Société des artistes français, septembre 1894, sur Gallica.
  10. Compte-rendus des travaux de la Société des artistes français du 1er juin 1895 sur Gallica.
  11. Séance publique annuelle de l'Académie des Beaux-Arts du 30 octobre 1897 sur Gallica.
  12. Compte-rendu des travaux de la Société des artistes français du 1er janvier 1897 sur Gallica.
  13. Chantal Beauvalot, Honneurs aux Femmes ! Jalons pour comprendre la naissance et le fonctionnement de la Société de l'Union des Femmes Peintres et Sculpteurs, dans Pierre Sanchez, t. I, Dijon, L'Echelle de Jacob, 2010 (ISBN 978-2-35968-012-6), p. 12-28.
  14. La Vie heureuse du 1er février 1905 sur Gallica.
  15. L'Illustré parisien du 25 mai 1901 sur Gallica.
  16. Art et décoration du 1er janvier 1911 sur Gallica.
  17. Archives de Paris, 15e arr., acte de décès n° 551 (vue 10/31).
  18. Bénézit 1999.
  19. Courrier du Nord du 23 février 1884.
  20. La Politique coloniale du 17 février 1904 sur Gallica.
  21. Jean Le Fustec, Quinte et quatorze dans Le Magasin pittoresque du 1er janvier 1897 sur Gallica (avec gravure de l'œuvre par Deloche).
  22. Ernest Roschach, Catalogue des collections de peinture du musée de Toulouse, Librairie de l'Université, Toulouse 1920 sur Gallica.
  23. La Revue Septentrionale du 5 août 1905, p. 275-276.
  24. Émile Delval, « Un artiste de chez nous, Henry-Eugène Delacroix », Mémoires de la Société d'émulation de Cambrai, Mallez et Cie, Cambrai 1936, sur Gallica.
  25. « Où sont les FemmeS ? Enquête sur les artistes femmes du musée », sur humanitelles, (consulté le ).
  26. Théodore Véron et Institut universel, Dictionnaire Véron ou Mémorial de l'art et des artistes contemporains - Salon de 1879, Paris/Poitiers, M. Bazin/Chez l'Auteur, (lire en ligne), p. 171.
  27. Société des artistes français, Exposition des beaux-arts. Catalogue illustré de peinture et sculpture. Salon de 1891, Baschet, (lire en ligne).
  28. Catalogue illustré du salon : 1893, (lire en ligne).
  29. Catalogue illustré du Salon de 1895, Paris, L. Baschet, (lire en ligne).
  30. Catalogue illustré du Salon de 1898, Paris, L. Baschet, (lire en ligne).
  31. Catalogue illustré du Salon de 1903, Paris, L. Baschet, (lire en ligne).
  32. Catalogue illustré du Salon de 1908, Paris, L. Baschet, (lire en ligne).
  33. Catalogue illustré du Salon de 1909, Paris, L. Baschet, (lire en ligne).
  34. « Gap - Musée départemental » [PDF], sur Les collections Rothschild dans les institutions publiques françaises (INHA).
  35. « Salon de la Société Nationale des Beaux-arts de 1912. "Frisson" par Delacroix Garnier (63FI721) », sur Archives départementales de la Somme.
  36. Catalogue illustré de l'Exposition internationale de blanc et noir 1890 sur Gallica.
  37. Le courrier artistique et littéraire du 1er mai 1892 sur Gallica.
  38. La Lorraine artiste du 5 mars 1893 sur Gallica.
  39. Journal des artistes du 17 mars 1895 sur Gallica.
  40. (en) Tamar Garb, Sisters of the Brush: Women's Artistic Culture in Late Nineteenth-Century Paris, Yale University Press, (ISBN 978-0-300-05903-8, lire en ligne).
  41. La Revue d'art du 1er mars 1897 sur Gallica.
  42. Revue pour les jeunes filles du 1er mars 1898 sur Gallica.
  43. Reproduite dans L'Œuvre d'Art du 15 mars 1898 sur Gallica.
  44. Les Droits de l'homme du 8 février 1899 sur Gallica.
  45. L'Aurore du 1er septembre 1900 sur Gallica.
  46. L'Éclair du 24 février 1901 sur Gallica.
  47. Armée et marine du 2 mars 1902 sur Gallica.
  48. La Croix du 17 février 1903 sur Gallica.
  49. La Vie normale du 1er janvier 1904 sur Gallica.
  50. L'Art du 7 janvier 1906 sur Gallica.
  51. La Revue moderne illustrée du 10 avril 1908 sur Gallica.
  52. Le Magasin pittoresque du 1er janvier 1909 sur Gallica.
  53. Femina du 1er mars 1910 sur Gallica.
  54. La Constitution des Charentes du 15 février 1911 sur Gallica.
  55. L'Attaque du 20 février 1912 sur Gallica.
  56. Mémoires de la Société des amis des arts du département de la Somme du 1er janvier 1910 sur Gallica.
  57. Gaston Routi, Les peintres français à Berlin dans Un point d'histoire contemporaine, 10e édition, Daragon, Paris, 1901 sur Gallica.
  58. La Frontière du 20 août 1910 sur Gallica.
  59. Catalogue de l'exposition franco-britannique de Londres 1908 sur Gallica.
  60. A. Bleton, Lyon-Salon, Revue Critique Illustrée, Rey, Lyon 1896 sur Gallica.
  61. Revue textile du 1er octobre 1910 sur Gallica.
  62. Catalogue de l'Exposition des Beaux-Arts, Rueil, 1893 sur Gallica.
  63. La Gazette des femmes du 10 novembre 1879 sur Gallica.
  64. Catalogue officiel de l'exposition internationale, Ville de Tourcoing, 1906 sur Gallica.
  65. Catalogue de l'exposition de la Société des amis des arts de Seine-et-Oise 1896 sur Gallica.
  66. Bibliographie de la France: Annonces, (lire en ligne).
  67. Adrien Jean Quentin Beuchot, Journal général de l'imprimerie et de la librairie, Au Cercle de la Librairie, (lire en ligne).
  68. Le Pêle-mêle du 19 juin 1904 sur Gallica.
  69. Catalogue du musée d'Alençon, 1909, sur Gallica.
  70. « Portrait de Melle Andrée D. », notice no 06290001183, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  71. Pauline Delacroix-Garnier, « Portrait de Nicolas-Jean-Jacques Masset », sur Collections du musée - Philharmonie de Paris (consulté le ).
  72. Ancienne Gazette des étrangers du 6 juillet 1912 sur Gallica.
  73. O. Seron, Suresnes d'autrefois et d'aujourd'hui, Suresnes, 1926, sur Gallica.

Annexes

Bibliographie

Liens externes

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