syringa

Du latin syringa.

syringa \si.ʁɛ̃.ɡa\ masculin

1. Variante de seringat.
   • […] le paysage commença très-brusquement à changer d’aspect. On ne vit plus ni lauriers-roses, ni cytises, ni syringas. La grasse verdure des maïs en herbe disparut. — (Paul Féval, La Ville-Vampire dans la bibliothèque Wikisource , E. Dentu, Paris, 1875, Troisième journée — chapitre III)
   • Une enfant qui d’instinct ennoblissait de paganisme les fêtes chrétiennes, amoureuse seulement du rameau de buis, de l’œuf rouge de Pâques, des roses effeuillées à la Fête-Dieu et des reposoirs – syringas, aconits, camomilles – du surgeon de noisetier sommé d’une petite croix, bénit à la messe de l’Ascension et planté sur la lisière du champ qu’il abrite de la grêle… — (Colette, Les Vrilles de la vigne, 1908)

• Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (syringa)

Variante de syrinx.

syringa \Prononciation ?\ féminin

1. Seringue.
2. Lavement, clystère.
3. Fistule.

• « syringa », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage