stucage

(Siècle à préciser) Dérivé de stuquer, avec le suffixe -age.

stucage \sty.kaʒ\ masculin

1. (Architecture) Action de stuquer.
2. Résultat de cette action.
   • La boiserie (…) cède la place aux fresques en grisaille, aux stucages à l’italienne. — (Morand, Londres, 1933, p. 31)
   • Les produits les moins tolérables de la galvanoplastie, du stucage, de la vitrerie et du sous-pastiche industriel leur paraissaient autant de merveilles de cette Babylone assiégée dont le faste inique appelait le feu des cieux. On en a vu qui se liquéfiaient d’admiration devant une boule d’escalier ou un miroir sphérique de jardin bourgeois. — (Léon Bloy, Bismarck chez Louis XIV, dans Sueur de sang, 1893)

• Bourg-en-Bresse (France) : écouter « stucage [Prononciation ?] »
• Somain (France) : écouter « stucage [Prononciation ?] »
• Céret (France) : écouter « stucage [sty.kaʒ] »