roy

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Graphie utilisée du moyen français jusqu’au XVIII^e siècle. Ce n’est qu’en 1740 que l’Académie française enregistre le mot sous sa forme moderne, dans la troisième édition de son dictionnaire. Dans les deux premières éditions (1694 et 1716), le pluriel de roy est rois.

roy \ʁwa\ ou \ʁwɛ\ masculin (pour une femme, on peut dire : reyne, royne)

1. (Archaïsme) De 1694 à 1740 : Orthographe de l’Académie française de roi.
   • le roy des rois
2. (Désuet) Depuis 1740 : Orthographe archaïsante de roi.
   • Fière chevalière
     Arthur le roy
     Ne reniera
     Te gardera
     O Damoiselle
     Masquée seras
     Excellemment.
     Truands, larrons
     Terriblement
     Enchaîneras. — (Georges Chaulet, C’est quelqu’un, Fantômette !, 1977)
   • Hostellerie (du Roy Henry) : Il était une fois trois restaurants : dans l’un les couteaux n’étaient pas affûtés. Dans le second, ils l’étaient, et l’on trouvait par conséquent la viande meilleure. Mais c’est le troisième qui faisait payer le plus cher, et savez-vous pourquoi ? Parce qu’il avait rajouté un s et deux y à son enseigne. — (Nina Catach (1923-1997), Les délires de l’orthographe : en forme de dictionnaire [sic], préf. de Philippe de Saint-Robert, Paris, Plon, 1989, ISBN 2-259-02136-0, page 91)

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roy \ˈrojː\

1. Troisième personne du singulier du futur de l’indicatif du verbe reiñ.

De l’ancien français roi, rei, rex, du latin rex (« roi, chef »), via son accusatif rēgem, du verbe rēgĕre (« diriger »).

roy *\rwɛ\ masculin

1. Roi.

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roy \Prononciation ?\

1. Imiter.

• (Région à préciser) : écouter « roy [Prononciation ?] »

• yor