porte-bannière
Français
Étymologie
Nom commun
| Singulier | Pluriel | 
|---|---|
| porte-bannière | porte-bannières | 
| \pɔʁ.tba.njɛʁ\ | |
| Singulier et pluriel | 
|---|
| porte-bannière \pɔʁ.tba.njɛʁ\ | 
porte-bannière \pɔʁ.tba.njɛʁ\ masculin et féminin identiques
- Celui, celle qui porte une bannière.
- Mon père soupira en songeant que je ne serais point, après lui, porte-bannière de la confrérie des rôtisseurs parisiens. — (Anatole France, La Rôtisserie de la reine Pédauque, 1893)
- Le fils, ce grand que l’on appelait Cuirassier, était très fou d’une jeune tailleuse de Chantepie, porte-bannière des Enfants de Marie. — (Ernest Pérochon, Nêne, 1920)
- Toi, bon chrétien, consacré à la Sainte-Vierge, porte-bannière de la Confrérie, au lieu d’aller à l’Office tu te vautres comme un gros congolio sous la galerie de ta case ! — (Jypé Carraud, Tim-Tim-Bois-Sec, éditions Payot et Rivages, 1996, collection Rivages/Mystère, page 8)
 
Traductions
Anagrammes
→ Modifier la liste d’anagrammes
Références
- Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (porte-bannière), mais l’article a pu être modifié depuis.