pekoe

Voir aussi : pekoë

Français

Étymologie

(Siècle à préciser) Du chinois 白花, bái-huā, composé de , bái blanc ») et de , huā fleur »), le bourgeon de ce thé étant couvert d'un fin duvet blanc (voir illustration), signe de sa qualité.

Nom commun

SingulierPluriel
pekoe pekoes
\Prononciation ?\

pekoe \Prononciation ?\ masculin

  1. Thé noir de Chine.
    • Le thé noir se divise en cinq sortes principales :
      1° le pekoë, dont une espèce est le plus fin et le plus aromatisé en thés noirs, et qui est formé par la première récolte de l'arbuste ;
      2° le congo, qui fait la base de la consommation journalière de la Chine, et qui se récolte immédiatement après le pekoë ;
      3° le souchong, dont la feuille, plus large que celle du congo, est mince et souvent brisée ;
      4° le pouchong, qui a une grande finesse d'arome ;
      5° le bohea, le plus commun, le moins cher, le plus discrédité de tous les thés noirs.
    • À d’autres étages, des ménagères flairaient le pekoé à pointes blanches, cueilli dans la vallée de Darjeeling par les femmes hindoues, ou le thé vert du Japon, brûlé au panier par des créatures minces aux yeux bridés, dans un décor d’Hokousaï.  (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 210)

Variantes

Traductions

Prononciation

Anagrammes

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Voir aussi

Références

    Anglais

    Étymologie

    (Date à préciser) Du minnan 白花, pe̍h-hoe fleur blanche »).

    Nom commun

    SingulierPluriel
    pekoe
    \Prononciation ?\
    pekoes
    \Prononciation ?\

    pekoe \Prononciation ?\

    1. (Boisson) Pekoe.
      • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

    Dérivés

    • orange pekoe

    Voir aussi

    Références