interpellatrice

(1837) Du latin interpellatrix.

interpellatrice \ɛ̃.tɛʁ.pɛ.la.tʁis\ féminin (pour un homme, on dit : interpellateur)

1. Celle qui interpelle.
   • À travers la fenêtre, la traitresse lança à l’interpellatrice qu’elle se reposait, craignant d’être confrontée à ses déclarations diffamatoires. — (Germain Nyada, Noces d’un tombeau, 2017)
   • J’ai entendu l’une des interpellatrices dire qu’il s’agissait de revenir aux dispositions de 1951 qu’elle opposait aux dispositions actuelles. — (Débats de l’Assemblée nationale, Direction des Journaux officiels, volume 9, 1952 → lire en ligne)

interpellatrice \ɛ̃.tɛʁ.pɛ.la.tʁis\

1. Féminin singulier de interpellateur.
   • La reconnaissance des attributs nécessaires à l’exercice de la fonction interpellatrice du juge. — (Ferdinand Larnaude et Gaston Jèze, Revue du droit public et de la science politique en France et à l’étranger, Librairie générale de droit et de jurisprudence, volume 102, 1986 → lire en ligne)

• La prononciation \ɛ̃.tɛʁ.pɛ.la.tʁis\ rime avec les mots qui finissent en \is\.
• France (Vosges) : écouter « interpellatrice [Prononciation ?] »

• « interpellatrix », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage
• Mémoire sur la Liberté des Cultes, Jan Konijnenburg, 1837

interpellatrice \in.ter.pel.laːˈtriː.ke\ féminin

1. Ablatif singulier de interpellatrix.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)