graveur

Français

Étymologie

(Date à préciser) Dérivé de graver, avec le suffixe -eur.

Nom commun 1

SingulierPluriel
graveur graveurs
\ɡʁa.vœʁ\

graveur \ɡʁa.vœʁ\ masculin (pour une femme, on peut dire : graveuse, graveure)

  1. Artisan dont la profession est de graver, marquer une matière à l’aide d’outils.
    • Les « maisons-ateliers » du quartier Mu seraient celles d’un fondeur, d’un graveur de sceaux et d’un potier.  (Stéphane Bourdin, La forme de la ville : de l'Antiquité à la Renaissance, 2019, page 380)
    • Un art gardait le privilège de la sincérité dans le détail des figures nues : la gravure. On peut affirmer que depuis l’invention de l’estampe jusqu’au xixe siècle la majorité des graveurs fut hostile à toute suppression.  (Pierre Louÿs, La statue de la Vérité, dans Archipel, 1932)
    • Au cours des premières semaines qui suivent un avènement au trône, toujours et en tout pays, graveurs, sculpteurs, peintres et médaillistes ont extrêmement à faire. Il en est ainsi en France où l'on écarte rapidement le portrait de Louis XV.  (Stefan Zweig, Marie-Antoinette, traduit de l'allemand par Alzir Hella, Éditions Grasset & Fasquelle, 1933, collection Les Cahiers Rouges (Grasset), 2002, chapitre 7)

Apparentés étymologiques

Vocabulaire apparenté par le sens

  • graveur figure dans le recueil de vocabulaire en français ayant pour thème : typographie.

Traductions

Nom commun 2

SingulierPluriel
graveur graveurs
\ɡʁa.vœʁ\

graveur \ɡʁa.vœʁ\ masculin

  1. Appareil servant à graver.
    • Un graveur de DVD.

Dérivés

Traductions

Prononciation

Anagrammes

→ Modifier la liste d’anagrammes

Voir aussi

  • graveur sur l’encyclopédie Wikipédia

Références

  • Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (graveur)

Néerlandais

Étymologie

Du français graveur.

Nom commun

graveur \ɣraːˈvøːr\ féminin

  1. Graveur, artisan qui grave.

Prononciation