gano

De l’espagnol gano (« je gagne »).

gano \ɡa.no\ masculin.

1. Au jeu d’hombre, signifie : « laissez-moi venir la main, j’ai le roi. »
   • Se plaindre d’un gano qu’on n’a point écouté. — (Nicolas Boileau, Les Satires X.)
2. (Argot) (Vieilli) Avoir ou bien, susceptible d’être volé ; trésor, bourse...^[1]
   • En possession d’un gano grassouillet, ce Hotu peut devenir un pante commode à opérer ? — (Albert Simonin, Hotu soit qui mal y pense, Gallimard, Paris, 1971, page 60)

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• « gano », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage

De l’espagnol gana.

gano \Prononciation ?\

1. Aptitude.
   • Laneko ganoa ba dü, il a l'aptitude au travail.

gano \ˈɡãː.no\

1. Troisième personne du singulier du futur de l’indicatif de genel.

gano \ˈɡãː.no\

1. Forme mutée de kano par adoucissement (k > g).

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• goan

gano \ˈɡa.no\

1. Première personne du singulier du présent de l’indicatif de ganar.

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gano \ɡa.nɔ\

1. Gain.

umugano \Prononciation ?\ classe 2 (pluriel classe 2 : imigano)

1. (Botanique) Bambou.

• gona