consolant
Français
Étymologie
- Participe présent de consoler.
Adjectif
| Singulier | Pluriel | |
|---|---|---|
| Masculin | consolant \kɔ̃.sɔ.lɑ̃\ |
consolants \kɔ̃.sɔ.lɑ̃\ |
| Féminin | consolante \kɔ̃.sɔ.lɑ̃t\ |
consolantes \kɔ̃.sɔ.lɑ̃t\ |
consolant \kɔ̃.sɔ.lɑ̃\
- Qui console ; qui est propre à consoler.
La pauvre femme aimait d’ailleurs ces muets témoins de son bonheur qui, pour elle, avaient une éloquence quasi-consolante.
— (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)Puis l’oubli fit lentement son œuvre consolante.
— (Émile Moselly, Terres lorraines, 1907)Cette crypte reproduirait donc les passages les plus consolants et les plus héroïques du Saint-Livre.
— (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
Traductions
- Breton : frealzus (br)
- Espagnol : consolador (es)
- Italien : consolante (it)
Forme de verbe
| Voir la conjugaison du verbe consoler | ||
|---|---|---|
| Participe | Présent | consolant |
consolant \kɔ̃.sɔ.lɑ̃\
- Participe présent de consoler.
Oh ! jeune homme, est-ce donc la providence divine qui m’a fait désirer de secouer par un peu d’exercice à pied le sommeil dont sont saisis au matin tous les voyageurs, afin que je pusse, en vous consolant, obéir à ma mission ici-bas ?…
— (Honoré de Balzac, Illusions perdues, troisième partie : Les Souffrances de l’Inventeur)
Prononciation
- France (Nancy) : écouter « consolant [Prononciation ?] »
Anagrammes
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Références
- Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (consolant)