catatonie
Français
Étymologie
Nom commun
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| catatonie | catatonies |
| \ka.ta.tɔ.ni\ | |
catatonie \ka.ta.tɔ.ni\ féminin
- (Médecine) Désordre psychiatrique caractérisé par une alternance d’inactivité psychomotrice complète et un comportement violent hyperactif, sans raison apparente.
- (Médecine) Forme de schizophrénie caractérisée par des périodes de passivité et de négativisme alternant avec des excitations soudaines.
Lorsqu’il fut amené à l’hôpital, Monk était engoncé dans son manteau dans un état de prostration totale, comme en catatonie.
— (Laurent de Wilde, Monk, 1996, collection Folio, page 299)D’abord avec une mégacampagne de vaccination pour essayer d’enrayer la pandémie qui avait mis l’économie du pays en état de catatonie, et un plan de relance majeur ensuite, le American Rescue Plan de 1900 milliards de dollars.
— (Frédéric Arnoud, La grande fatigue de Joe Biden, ici.radio-canada.ca, 19 janvier 2022)
Dérivés
Traductions
Prononciation
- France (Lyon) : écouter « catatonie [Prononciation ?] »
- France (Grenoble) : écouter « catatonie [Prononciation ?] »
Voir aussi
- catatonie sur l’encyclopédie Wikipédia
Références
- ↑ « catatonie », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
Italien
Forme de nom commun
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| catatonia \ka.ta.to.ˈni.a\ |
catatonie \ka.ta.to.ˈni.e\ |
catatonie \ka.ta.to.ˈni.e\ féminin
- Pluriel de catatonia.
Néerlandais
Étymologie
- De l’allemand Katatonie.
Nom commun
catatonie \Prononciation ?\ féminin
Taux de reconnaissance
- En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
- 53,8 % des Flamands,
- 52,1 % des Néerlandais.
Prononciation
- (Région à préciser) : écouter « catatonie [Prononciation ?] »
Références
- ↑ Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal [≈ Reconnaissance du vocabulaire des Néerlandais et des Flamands 2013 : résultats de la grande enquête nationale sur les langues], Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 pages. → [archive du fichier pdf en ligne]