backroom

(Siècle à préciser) De l’anglais backroom (« arrière-salle »), lui-même composé de back (« arrière ») et de room (« salle »).

backroom \bak.ʁum\ masculin ou féminin (l’usage hésite)

1. (Sexualité) Pièce arrière dans un bar ou une boite de nuit (gay le plus souvent) où l’on peut avoir une relation sexuelle avec un partenaire, le plus souvent anonyme, généralement dans la pénombre.
   • Je vais vous faire la chronique de ma tournée d’été des backrooms parisiennes.
   • Je fuyais le long des trottoirs sans personne à mon bras, il y avait tous ces néons et ces enseignes clignotant pour annoncer la fête lugubre de backrooms mal famés, néologismes borgnes, prénoms de femmes exotiques, noms commun amputés, qu’on devait au hasard d’ampoules éclatées, trop de lumière à Pigalle pour mes traits fatigués, trop de couples blasés, de passage, de bagnoles en pleins phares, de décadence admise, de solitude dégueulasse. — (Lolita Pille, Bubble Gum, Bernard Grasset, Paris, 2004, ISBN 2-246-64411-9, ch. XVII, p. 290)

• Cornimont (France) : écouter « backroom [Prononciation ?] »
• Aude (France) : écouter « backroom [Prononciation ?] »

• backroom sur l’encyclopédie Wikipédia

(Siècle à préciser) De back et de room.

backroom \ˈbæk.ˌɹum\ (États-Unis), \ˈbæk.ˌɹuːm\ (Royaume-Uni)

1. (Sexualité) Backroom.

• France (Toulouse) : écouter « backroom [Prononciation ?] »

• backroom sur l’encyclopédie Wikipédia (en anglais)