avrillée

De l’ancien français avrillier (« faire un temps d’avril »).

avrillée \a.vʁi.je\ féminin

1. Pluie d’avril, douce et tiède.
   • Déjà, dans l’entourage de Gilberte, cet éclat neuf, ces éclosions subtiles qui font de l’amour une avrillée, mais elle n’était pas encore livrée au destin... — (J.-H. Rosny, Un voleur ?, 1932)
2. (Anjou) Liseron.

avrillée \a.vʁi.je\

1. Féminin singulier de avrillé.

• Aujourd’hui \a.vʁi.je\
• (XIX^e siècle) \a.vʁi.ʎe\ ll mouillées

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• « avrillée », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage

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avrillée \Prononciation ?\ féminin

1. Clochette.
2. (Botanique) Liseron.

• Charles Ménière, Glossaire angevin étymologique comparé avec différents dialectes, Lachèse et Dolbeau, Angers, 1881, page 191 à 562, p. 233 → [version en ligne]