Signy-le-Petit

Français

Étymologie

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Nom propre

Nom propre
Signy-le-Petit
\Prononciation ?\

Signy-le-Petit \Prononciation ?\

  1. (Géographie) Commune française, située dans le département des Ardennes.
    • De toutes les fondations de ces seigneurs, la plus solide & la plus avantageuse est le bourg de Signy le petit, ainsi nommé pour le distinguer de Signy le grand, que Froissard dit avoir été brûlé en 1340.  (Nicolas Le Long, Histoire Ecclésiastique et civile du Diocèse de Laon, Châlons : chez Seneuze, 1783, p. 295)
    • Sans parler d’Auge, qui semble avoir existé dès le temps de l'occupation des Gaules par les Romains, […], le xiie siècle avait vu naître, en 1134, Signy-le-Grand, qui fut détruit en 1340. Le xiiie siècle fut témoin, sans aucun doute, de la fondation de Signy-le-Petit et de Beaulieu (1216), de celle de Tarzy et de Fligny, avant 1247; de celle de Brognon (vers 1261) et d'Auvillers-lès-Forges (1263).  (Pierre-Louis Péchenard, Notice historique sur la Neuville-aux-Tourneurs, Imprimerie coopérative de Reims, 1872, p. 5)
    • Grouchy cependant s'avançait, le 23, dans la direction de Rethel et de Laon. Pajol conduisit la division Soult à la Neuville-aux-Tourneurs, par Maubert-Fontaine ; il établit ses avant-postes à Beaulieu et Signy-le-Petit, et communiqua avec Valin, venu à Brognon d'abord, puis à Aubenton, et avec Exelmans, installé à Rumigny.  (Pajol, général en chef, par son fils, le comte Charles Pierre Victor Pajol, tome 3 (1812-1844), Paris : chez Firmin Didot fils & chez j. Dumaine, 1874, p. 248)
    • Art. 39. Limite entre la commune de Chimay (Pays-Bas) et celle de Signy-le-Petit (France).
      § 1. Partant du point ou commencent les prairies dépendantes de Signy-le-Petit et qui indique la séparation du territoire de Forges et celui de Chimay, la limite, toujours formée par la rivière de la Wartoise, longe la lisière des bois de M. de Caraman, les dites prairies de Signy-le-Petit et les marais Hubain, puis, après avoir traversé le chemin de Chimay au dit Signy-le-Petit, se dirige sinueusement jusqu'au point de jonction de la dite Wartoise avec le ruisseau de la Fontaine des Trois-Bois ou des Trois-Bondes.
       (« Procès verbal de la délimitation entre les royaumes des Pays-Bas et de France, comprenant la partie entre la Sambre et la Meuse, part. 4, » arrêté à Mons le 18 juin 1817, dans Code de traités et arrangements internationaux intéressant la Belgique, édité par Alphonse de Busschère, tome 1, Bruxelles : chez J. Lebègue & Cie, 1896, p. 138)

Gentilés et adjectifs correspondants

Références

  • Cette page utilise des renseignements venant du site habitants.fr.

Voir aussi