Liart

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Liart \Prononciation ?\

1. (Géographie) Commune française, située dans le département des Ardennes.
   • A partir de ce point, le tracé d’Hirson à Amagne se dirige vers le col des Héneaux, en s'élevant de 70 mètres, franchit ce col à l'aide d'un tunnel à la cote 236 et descend ensuite presque sans interruption jusqu'à Amagne. Sur son parcours, la ligne dessert Liart, Maranwez, Wasigny, passe près de Novion-Porcien et arrive à Amagne, à l'ouest de la de cette ville. — (Rapport fait au nom de la commission chargée d'examiner le projet de loi, adopté par la Chambre des députés, portant déclaration d'utilité publique d'un chemin de fer d’Hirson à Amagne, par Rumigny, par M. Toupet des Vignes, sénateur, Sénat : séance du 1^er avril 1879, Journal officiel de la République française du 16 avril 1879, p. 3284)
   • Le 9 Novembre, les Allemands reculent à nouveau ; par des routes et des terrains éventrés, par des mines, le Régiment dépasse Liart et, par Havys et Cernion, prend position sur les hauteurs de la rive Sud de la Sormonne, dont les ponts sont coupés. — (Historique du 217^e régiment d'artillerie, campagne 1914-1918, Abbeville : Imprimerie moderne Duclercq, 1922, p. 22)
   • Les excursionnistes continuent leur marche vers Logny-Bogny et visitent deux carrières qui exploitent les calcaires blancs du Bathonien moyen au voisinage du pont où la voie ferrée de Liart à Charleville franchit la route ; […]. — (Bulletin de la Société d'histoire naturelle des Ardennes, vol. 19-24, 1925, p. 71)
   • L'apport de minéraux de métamorphisme ne peut provenir des auréoles crétacées du Nord-Est car, ainsi que nous allons le voir, les sables albiens de Liart et cénomaniens de La Hardoye sont très pauvres en minéraux paramétamorphiques […]. — (Charles Pomerol, Les sables de l'Éocène supérieur (Lédien et Bartonien) des bassins de Paris et de Bruxelles, Paris : Imprimerie Nationale, 1965, p.138)
   • Les églises fortifiées. — Construites le plus souvent entre la fin du XVI^e et le début du XVII^e siècle, elles témoignent encore de l'insécurité permanente qui régnait alors. […]. Celles de Saint-Juvin (1620), d’Aouste, Flaignes, de Liart et de Nouvion-sur-Meuse sont les plus typiques. — (Jacques Rousseau, « Les églises des Ardennes », dans les Annales sedanaises d'histoire et d'archéologie : bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie du Sedanais, n° 58 de septembre 1968, Sedan, p. 49)

• Mulhouse (France) : écouter « Liart [Prononciation ?] »

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