Hyades
 : hyades
Français
Étymologie
- (Siècle à préciser) Du latin Hyades, issu du grec ancien Ὑάδες, Hyádes (« les Pluvieuses »).
- Les Hyades sont les filles de Hyas, dieu de l’Eau fertilisante et dont le nom se rapporte à ὗς, hŷs (« verrat ») apparenté au latin sus. Le porc mâle symbolise l’eau inséminatrice et fertilisante. Le même parallèle existe entre le slave baran (« porc ») et l’iranien baran (« pluie »). référence nécessaire (pourquoi ? résoudre le problème)
Nom commun
Hyades féminin pluriel
- (Mythologie) Nymphes des pluies, changées en un groupe d'étoiles dans la constellation du Taureau, et dont l’apparition annonce les pluies de printemps. Le nombre, la généalogie et les noms de ces nymphes varient selon les sources.
- Leur frère Hyas ayant été tué par un lion (ou un sanglier), les Hyades se montrèrent inconsolables de sa mort et ne cessèrent de le pleurer. Les dieux, émus, les placèrent alors parmi les étoiles comme la constellation des Hyades tandis que leur frère Hyas fut transformé en la constellation du Verseau. 
 
- (Astronomie) Amas ouvert le plus proche du système solaire dont les étoiles forment un astérisme en forme de ‹ V › représentant la tête de la constellation du Taureau.
Dérivés
Apparentés étymologiques
Traductions
Prononciation
- La prononciation \jad\ rime avec les mots qui finissent en \ad\.
- France (Vosges) : écouter « Hyades [Prononciation ?] »
Voir aussi
- Hyades sur l’encyclopédie Wikipédia
Latin
Étymologie
- Du grec ancien Ὑάδες, Hyádes (« les Pluvieuses ») apparenté à unda.
Nom commun
| Cas | Singulier | Pluriel | 
|---|---|---|
| Nominatif | Hyas | Hyadēs | 
| Vocatif | Hyas | Hyadēs | 
| Accusatif | Hyadem | Hyadēs | 
| Génitif | Hyadis | Hyadum | 
| Datif | Hyadī | Hyadibus | 
| Ablatif | Hyadĕ | Hyadibus | 
Hyades féminin pluriel
- (Mythologie) Hyades.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
 
Prononciation
- \ˈhy.a.des\, [ˈhyäd̪ɛs̠] (Classique)
- \ˈi.a.des\, [ˈiːäd̪es] (Ecclésiastique)
Références
- « Hyades », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage