Chaumont-Saint-Quentin
Français
Étymologie
- Du nom du chef-lieu Chaumont et de la ferme, à l'écart, Saint-Quentin.
Nom propre
| Nom propre | 
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| Chaumont-Saint-Quentin \Prononciation ?\ | 
Chaumont-Saint-Quentin \Prononciation ?\
- (Géographie) Ancienne commune du département des Ardennes, qui fusionna avec Noyers-Thélonne, en 1828, pour former la commune de Noyers-Pont-Maugis.
- La 4e division continua ensuite son mouvement dans la direction de l'Ouest, […], vers 10 heures 30 du matin, elle se rassemblait auprès de Villers-sur-Bar, où s'établissaient la 8e brigade, les deux batteries à cheval et deux escadrons du 5e régiment de dragons, tandis que le reste de la division cantonnait aux environs de Noyers et de Chaumont-Saint-Quentin. — (La guerre de 1870-71 : L'Armée de Châlons, tome 2 : Nouart-Beaumont, chap. 12 : Mouvement des armées allemandes, Paris : chez R. Chapelot et Cie, 1906, p. 215)
- Les troupes coloniales et le XIe corps reculent jusqu’au bois de la Marfée et viennent se placer à la gauche du XVIIe corps, au hameau de Chaumont-Saint-Quentin, à Bulson et à Chehery. […]. Enfin le hameau de Chaumont-Saint-Quentin se trouve à 1.500 mètres au sud de Thelonne et à 2 kilomètres en droite ligne au nord de la ferme de Beauménil. La 42e brigade ou brigade vendéenne (93e de ligne, La Roche-sur-Yon ; 137e de ligne, Fontenay-le-Comte) livre un combat des plus vifs autour de Chaumont-Saint-Quentin ; le chef de bataillon Lequeux, du 93e, est tué à la tête de son bataillon […]. — (G. Saint-Yves, La Grande mêlée européenne en 1914 : histoire de la guerre des nations contre l'Allemagne et l'Autriche, chap. 6 : La retraite vers Paris, (4e fascicule), Montauban : chez Guillau, 1915-1915, p. 107)
 
Voir aussi
- Chaumont-Saint-Quentin sur l’encyclopédie Wikipédia