Thiembronne
| Thiembronne | |||||
| L'église Saint-Pierre-ès-Liens et le monument aux morts. | |||||
Blason |
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| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | France | ||||
| Région | Hauts-de-France | ||||
| Département | Pas-de-Calais | ||||
| Arrondissement | Saint-Omer | ||||
| Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer | ||||
| Maire Mandat |
Didier Dewamin 2020-2026 |
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| Code postal | 62560 | ||||
| Code commune | 62812 | ||||
| Démographie | |||||
| Population municipale |
824 hab. (2022 ) | ||||
| Densité | 36 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 50° 37′ 16″ nord, 2° 03′ 30″ est | ||||
| Altitude | Min. 76 m Max. 201 m |
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| Superficie | 22,82 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
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| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Fruges | ||||
| Législatives | Sixième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
| Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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| Liens | |||||
| Site web | thiembronne.fr | ||||
Thiembronne est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France, située à 37 km de Boulogne-sur-Mer.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 104 937 habitants en 2021.
Géographie
Localisation
Localisée dans le centre du département du Pas-de-Calais, Thiembronne est une commune située, à vol d'oiseau, à 11 km au sud-ouest de la commune de Lumbres et à 20 km au sud-ouest de la commune de Saint-Omer (aire d'attraction et chef-lieu d'arrondissement)[1].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes. Les communes limitrophes sont Wismes, Renty, Aix-en-Ergny, Campagne-lès-Boulonnais, Fauquembergues, Merck-Saint-Liévin, Rumilly, Saint-Martin-d'Hardinghem et Vaudringhem.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 22,82 km2 ; son altitude varie de 76 à 201 mètres[2].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Source de l'Église[3], le Bourguet[4], le Loquin[5], la Merck-Saint-Liévin[6] et la Thiembronne[7],[8],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Audomarois ». Ce document de planification concerne un territoire de 662 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Aa et sa zone d'étalement : le marais audomarois. Le périmètre a été arrêté le 4 février 1994 et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le , puis le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'aménagement et la gestion des eaux de l'Aa (SmageAa)[9].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site spécial géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 879 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 6 km à vol d'oiseau[12], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site spécial publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Paysages
La commune s'inscrit dans les « paysages des hauts plateaux artésiens » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[16].
Ces paysages, qui concernent 77 communes du Pas-de-Calais, se situent à l'extrémité ouest des collines de l'Artois qui traversent le Pas-de-Calais d'Arras au Boulonnais. L'altitude de ces paysages dépassent les 180 mètres. Ces dimensions sont modestes, d'une quinzaine de kilomètres du sud-est au nord-ouest et d'une vingtaine de kilomètres dans sa dimension la plus grande[17].
Ces « paysages des hauts plateaux artésiens », appelés aussi « Haut Artois », se caractérisent par trois ensembles écopaysagers :
- l'ensemble mésophile ouvert du plateau artésien calcaire ;
- l'ensemble alluvial des fonds de vallée de la Lys et de l'Aa ;
- l'ensemble calcicole des versants calcaires des vallées[17].
Le « Haut Artois » dispose d'une importante densité de corridors biologiques bien interconnectés[17].
Dans le « Haut Artois », pas de villes, c'est une des rares terres rurales de la région, les communes les plus importantes sont, du nord au sud, Lumbres, Fauquembergues et Fruges. Le « Haut Artois », drainé par l'Aa et la Lys, constitue le sommet de l'anticlinal artésien, paysage ventée, froid et aux précipitations importantes qui en font le château d'eau régional[17].
Leș cultures représentent environ 60 % des sols, les prairies entre 26 et 27 %, les bois de 5 à 8 % et les villages et bourgs de 5 à 8 %, l'industrie y est peu présente[17].
Milieux naturels et biodiversité
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la haute vallée de l'Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin. La haute vallée de l'Aa se rattache à l'entité paysagère des hauts plateaux artésiens, elle intègre la source de ce fleuve côtier situé à Bourthes et les premiers kilomètres de ce cours d'eau qui trace un sillon profond dans les collines de l'Artois[18].
Urbanisme
Typologie
Au , Thiembronne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[20]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,5 %), prairies (27,5 %), forêts (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), zones urbanisées (2,5 %)[23]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Tembroina en 1079 ; Tinnebrone vers 1150 ; Tymbronia en 1171 ; Tinbronne en 1175 ; Tinbronna en 1176 ; Tembrone 1177 ; Tinborne en 1178 ; Tymbrone en 1188 ; Tenbrona en 1189 ; Tenbrone en 1192 ; Timbron en 1208 ; Tienberona en 1226 ; Thiembronna, Tienbrona en 1240 ; Tienbrone en 1241 ; Tienberonne en 1261 ; Tyembrone en 1264 ; Tenbronne en 1271 ; Timberonne au XIIIe siècle ; Tiembronne en 1400 ; Thiobronne en 1403 ; Thiebronne en 1407 ; Tienbronne vers 1512 ; Tembronne en 1515 ; Thiembrongne en 1559 ; Thiembrone en 1759 ; Thiembrune vers 1743[24] ; Thiembronne en 1793 et 1801[2].
Ernest Nègre avance un toponyme issu du flamand teen, tenen « osier » et bron « source », donnant la « source aux osiers »[25].
La commune porte le nom de Teenbronne en flamand.
Histoire
Thiembronne était autrefois l'une des douze baronnies du comté de Boulogne[26].
Vers 1170-1174, Guy de Thiembronne assiste à Guînes, à la lecture publique des lettres du comte de Guînes Baudouin II de Guînes, énonçant l'accord entre l'abbaye Saint-Médard d'Andres et Guillaume du pays de Bredenarde[27].
À la fin du XIIe siècle- début du XIIIe siècle, Clerembaut de Thiembronne est seigneur du lieu. Il a pour fils Guillaume de Thiembronne qui épouse Mahaut de Guînes, fille de Baudouin II de Guînes. Le couple reste sans héritiers et le titre de seigneur de Thiembronne va passer au frère de Mahaut Manassès de Guînes[28].
En , Manassès de Guînes, fils cadet de Baudouin II de Guînes, devient seigneur de Thiembronne du fait de son mariage. Manassès et son épouse Aielis donnent une terre à l'abbaye Saint-Médard d'Andres[29]. Aélis était la sœur et héritière de Guillaume de Thiembronne[30].
En 1230, Guillaume Mauvoisin est seigneur de Cahem, (Cohem?), et vassal d'Aélide, (sans doute la même qu'Aielis, épouse de Manassès de Guînes ci-dessus), dame de Thiembronne[31].
En 1245, un Adame (Adam?) de Thiembronne fait partie des bénéficiaires désignés par Baudouin III de Guînes dans son testament[32].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Fruges.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2022, la commune comptait 824 habitants[Note 6], en évolution de −2,94 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 422 hommes pour 397 femmes, soit un taux de 51,53 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Pierre-ès-Liens.
- Le monument aux morts.
- Chapelle Notre-dame-du-Rosaire.
-
L'église.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
| Blason | D'azur à la bande d'or accompagnée de deux fleurs de lys du même[44]. |
|
|---|---|---|
| Détails | Utilisé depuis une date antérieure à 1990. |
Pour approfondir
Bibliographie
Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[45] :
- J. Leroux, Histoire de Thiembronne, Saint-Omer, Imprimerie d'Homont, 1912.
Articles connexes
- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Liste de monuments aux morts français surmontés d'une croix latine
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
Notes
- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- ↑ Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Thiembronne » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- ↑ « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ « Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, sur le site Géoportail (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Sandre, « la Source de l'Eglise »
- ↑ Sandre, « le Bourguet »
- ↑ Sandre, « le Loquin »
- ↑ Sandre, « la Merck-Saint-Liévin »
- ↑ Sandre, « la Thiembronne »
- ↑ « Fiche communale de Thiembronne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- ↑ « SAGE Audomarois », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Thiembronne et Nielles-lès-Bléquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ↑ DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des hauts plateaux artésiens », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « ZNIEFF 310007271 - La haute Vallée de l'Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Thiembronne ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « Thiembronne – Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- ↑ Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-02883-7, présentation en ligne), p. 1028.
- ↑ Paul Roger, Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Duval et Herment, (lire en ligne), p. 327.
- ↑ André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres : Le tout justifié par chartres de diuerses eglises, tiltres, histoires anciennes, & autres bonnes preuues, Paris, (lire en ligne), p.69.
- ↑ Du Chesne 1631, p. 77.
- ↑ Alphonse Wauters, Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique : 1191-1225, t. III, Bruxelles, F. Hayez, , Année 1221.
- ↑ Du Chesne 1631, p. 75.
- ↑ Alphonse Wauters, Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, t. VII, 2e partie, Bruxelles, F. Hayez, , Année 1230.
- ↑ Alphonse Wauters, Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique : 1226-1250, t. IV, Bruxelles, F. Hayez, , Année 1245 .
- ↑ « Thiembronne : Sylvie Roland repart pour un troisième mandat de maire : À 53 ans, Sylvie Roland est de nouveau maire de Thiembronne depuis vendredi soir », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Liste des communes et des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- ↑ N.D. (CLP), « L'entretien des bâtiments, leitmotiv de Sylvie Roland, maire de Thiembronne : Siégeant au conseil municipal depuis 1989, Sylvie Roland entame son cinquième mandat. D'abord comme conseillère puis comme maire au service de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599938
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Thiembronne (62812) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Blason de Theimbronne », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- ↑ « La commune de Thiembronne », sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).
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