Rumilly (Pas-de-Calais)

Rumilly

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois
Maire
Mandat
Patrick Lavogez
2020-2026
Code postal 62650
Code commune 62729
Démographie
Gentilé Rumillyacois
Population
municipale
239 hab. (2022 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 34′ 38″ nord, 2° 00′ 56″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 173 m
Superficie 7,04 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lumbres
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rumilly
Géolocalisation sur la carte : France
Rumilly
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Rumilly
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Rumilly
Liens
Site web rumilly.fr

Rumilly est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Rumillyacois. La commune est membre de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois.

Géographie

Localisation

Localisée dans le centre du département du Pas-de-Calais, Rumilly est une commune rurale de la vallée de l'Aa située, à vol d'oiseau, à 11 km au nord-ouest de la commune de Fruges et à 21 km au nord-est de la commune de Montreuil-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement)[1].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes. Les communes limitrophes sont Thiembronne, Aix-en-Ergny, Herly, Renty et Verchocq.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 7,04 km2 ; son altitude varie de 92 à 173 m[2].

Hydrographie

La commune, située dans le bassin Artois-Picardie[3], est, selon le Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre), drainée par trois cours d'eau :

  • le fleuve l'Aa, d'une longueur de 55,55 km, qui prend sa source dans la commune de Bourthes et se jette dans le canal de Neufossé au niveau de la commune de Saint-Omer[4] ;
  • le Houvoy, d'une longueur de 2,52 km qui prend sa source dans la commune de Verchocq et se jette dans l'Aa au niveau de la commune[5] ;
  • le houvoy, d'une longueur de 0,93 km qui prend sa source dans la commune et se jette dans l'Aa au niveau de la commune[6].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 933 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Radinghem à 8 km à vol d'oiseau[9], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Paysages

La commune s'inscrit dans les « paysages des hauts plateaux artésiens » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[13].

Ces paysages, qui concernent 77 communes du Pas-de-Calais, se situent à l'extrémité ouest des collines de l'Artois qui traversent le Pas-de-Calais d'Arras au Boulonnais. L'altitude de ces paysages dépassent les 180 mètres. Ces dimensions sont modestes, d'une quinzaine de kilomètres du sud-est au nord-ouest et d'une vingtaine de kilomètres dans sa dimension la plus grande[14].

Ces « paysages des hauts plateaux artésiens », appelés aussi « Haut Artois », se caractérisent par trois ensembles écopaysagers :

  • l'ensemble mésophile ouvert du plateau artésien calcaire ;
  • l'ensemble alluvial des fonds de vallée de la Lys et de l'Aa ;
  • l'ensemble calcicole des versants calcaires des vallées[14].

Le « Haut Artois » dispose d'une importante densité de corridors biologiques bien interconnectés[14].

Dans le « Haut Artois », pas de villes, c'est une des rares terres rurales de la région, les communes les plus importantes sont, du nord au sud, Lumbres, Fauquembergues et Fruges. Le « Haut Artois », drainé par l'Aa et la Lys, constitue le sommet de l'anticlinal artésien, paysage ventée, froid et aux précipitations importantes qui en font le château d'eau régional[14].

Leș cultures représentent environ 60 % des sols, les prairies entre 26 et 27 %, les bois de 5 à 8 % et les villages et bourgs de 5 à 8 %, l'industrie y est peu présente[14].

Milieux naturels et biodiversité

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] : La haute Aa et ses végétations alluviales entre Remilly-Wirquin et Wicquinghem, d’une superficie de 564 ha et d'une altitude variant de 40 à 118 mètres[15].

et une ZNIEFF de type 2[Note 5] : la haute vallée de l’Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin. La haute vallée de l’Aa se rattache à l’entité paysagère des hauts plateaux artésiens, elle intègre la source de ce fleuve côtier situé à Bourthes et les premiers kilomètres de ce cours d’eau qui trace un sillon profond dans les collines de l'Artois[16].

Espèces faunistiques et floristiques

L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[17].

Urbanisme

Typologie

Au , Rumilly est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle est située hors unité urbaine[Insee 2] et hors attraction des villes[Insee 3],[Insee 4].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9 %), prairies (35,4 %), zones urbanisées (3,6 %), forêts (0,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

Transport ferroviaire

La commune était située sur la ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait dans le département du Pas de Calais, entre 1893 et 1955, Aire-sur-la-Lys à Berck.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Rimelliacum en 1134 ; Rumiliacus, Monasterium beati Petri de Rumiliaco en 1182 ; Rumelli en 1207 ; Rumilliacum en 1307 ; Rumeilly en 1311 ; Rumilli en 1318 ; Rumellyacum en 1345 ; Romilli, Rumilly-le-conte soubz Cluigny au XIVe siècle ; Rumeilly en 1477 ; Rumiliacum Comitis vers 1512 ; Rumylly-le-Conte en 1545 ; Remilly-le-Comte de Beaussan en 1720 ; Romiliacum Comitis au XVIIIe siècle ; Rumilly-Beaussart en 1793[19] ; Rumilly en 1793 et depuis 1801[2].

Le nom vient de l'anthroponyme romain Romilius, suivi du suffixe gallo-roman -i-acum, « domaine (de) ».

Durant la Révolution française, la commune, alors nommée Rumilly le Comte[20],[21] prend le nom de Rumilly-Beaussart[2],[22].

Histoire

Croisé en terre sainte, frère de Baudoin de Jérusalem et de Godefroy de Bouillon, gendre du Roi d’Écosse Malcolm III, descendant des contes Flandre et de Hainaut et fils du conquérant de l’Angleterre Eustache II, Eustache III de Boulogne abdiqua en 1125, pour se faire moine à Rumilly, dépendance du prieuré Saint-Pierre.[réf. nécessaire]

D'après l'historien français Auguste de Loisne : « Rumilly, en 1789, faisait partie de la sénéchaussée de Boulogne et suivait la coutume de Boulonnais. Son église, d'abord diocèse de Thérouanne, puis de Boulogne, doyenné de Fauquembergues, était consacrée à la Vierge et avait Avesnes pour secours ; le prieur d’Herly présentait à la cure. Ancien prieuré de l’abbaye de Cluny, fondé par Eustache III, comte de Boulogne, sous le vocable de Saint-Pierre[23]. »

Politique et administration

Découpage territorial

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais[Insee 5].

Commune et intercommunalités

La commune est membre de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois qui regroupe 49 communes et totalise 15 703 habitants en 2021[Insee 5].

Circonscriptions administratives

La commune est rattachée au canton de Lumbres[Insee 5].

Circonscriptions électorales

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais[24].

Élections municipales et communautaires

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2014 Ghislain Derollez    
avril 2014[25],[26] mai 2020 Jean-Marie Talleux    
mai 2020 En cours
(au 4 avril 2022)
Patrick Lavogez   Employé administratif d'entreprise[27],[28],[29]

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Rumillyacois[30].

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2022, la commune comptait 239 habitants[Note 6], en évolution de −3,63 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
555587624589616621591570556
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
526508476414434416382358400
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
427419376331314319339381375
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
334321292287260255254251248
2021 2022 - - - - - - -
243239-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 125 hommes pour 129 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[Insee 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,0 
12,2 
75-89 ans
12,6 
15,5 
60-74 ans
15,0 
23,7 
45-59 ans
17,4 
14,8 
30-44 ans
18,3 
14,0 
15-29 ans
11,1 
19,0 
0-14 ans
25,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Manifestations culturelles et festivités

L'association AVENIR propose différentes animations, dont un club théâtre.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason
Écartelé : aux 1er et 4e de gueules à trois tours d'or, aux 2e et 3e d'argent à trois fleurs de lys au pied nourri de gueules[36].
Détails
Armes de la famille D'Equincourt, qui donna les seigneurs du lieu au XVe siècle.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Bases de données, dictionnaires et encyclopédies

Notes et références

Notes

  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  7. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  8. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Insee

  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune de Rumilly ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
  6. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rumilly (62729) », (consulté le ).

Références

  1. « Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, sur le site Géoportail (consulté le ).
  2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Aa (E4030570 ) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - le Houvoy (E4030990) » (consulté le )
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - houvoy (E4030980) » (consulté le )
  7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Rumilly et Radinghem », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des hauts plateaux artésiens », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310014125 - La haute Aa et ses végétations alluviales entre Remilly-Wirquin et Wicquinghem », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310007271 - La haute Vallée de l’Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  20. Rumilly le Comte : non renseigné par EHESS-Cassini, fourni par Noms révolutionnaires des communes de France, p. 50 et vérifié sur les registres des AD62.
  21. Rumilly - 1667-1833, naissance du 8 janvier 1793 p. 1007/1611, sur le site des Archives départementales du Pas-de-Calais (AD62).
  22. EHESS-Cassini et Noms révolutionnaires des communes de France, p. 50 fournissent le nom de Rumilly-Beaussart. Ce nom n'est pas avéré sur le site des départementales deu Pas-de-Calais (AD62) pour Rumilly, 1667-1833. Il semble cependant bien exister un lieu-dit Beaussart dans la paroisse.
  23. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica).
  24. « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Rumilly : Jean-Marie Talleux succède à Ghislain Derollez », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Les projets du maire de Rumilly : « Il y a des travaux de voirie urgents à faire » : Travaux à la salle des fêtes, entretien des routes, aménagement d’une salle de réunion... Les chantiers ne manquent pas pour Jean-Marie Talleux, qui préside aux destinées du village de Rumilly (près d’Hucqueliers) depuis son élection en mars. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21597855
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  35. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  36. Armorial de France, p. 16645
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