Saint-Sulpice-la-Forêt

Saint-Sulpice-la-Forêt

La mairie de Saint-Sulpice-la-Forêt.

Logo
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Yann Huaumé
2020-2026
Code postal 35250
Code commune 35315
Démographie
Population
municipale
1 557 hab. (2022 en évolution de +19,59 % par rapport à 2016)
Densité 232 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 05″ nord, 1° 34′ 46″ ouest
Altitude Min. 46 m
Max. 92 m
Superficie 6,72 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Liffré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Sulpice-la-Forêt
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Saint-Sulpice-la-Forêt
Liens
Site web www.saint-sulpice-la-foret.fr

Saint-Sulpice-la-Forêt est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, dans la région Bretagne peuplée de 1 557 habitants[Note 1]. Elle fait partie du canton de Liffré et de l'intercommunalité Rennes Métropole.

Géographie

Situation

Communes limitrophes de Saint-Sulpice-la-Forêt
Chasné-sur-Illet
Mouazé Liffré
Betton

Le bois du Fayel se trouve dans le sud du territoire de la commune tandis que la forêt de Rennes s'étend au sud et à l'est. Située à 15 km au nord-est de Rennes, entre l'A84 et l'ancienne route du mont Saint-Michel, la commune a une superficie de 672 ha, dont environ 74 ha urbanisés. Le bourg est à la fois situé à 6 km de Betton, de Liffré et de Saint-Aubin-d'Aubigné[1].

Transports

La commune est desservie par les bus du service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) via les lignes 70 (51 les vendredis et samedis soir) et 71.

Relief et hydrographie

Les altitudes s'échelonnent entre 91 mètres et 45 mètres ; les points les plus hauts sont en limite sud et est de la commune, en lisière de la forêt de Rennes (91 mètres à la maison forestière du Carrefour de Saint-Denis) et le plus bas (45 mètres) à sa limite ouest, dans la vallée du Ruisseau du Fresnay, à l'endroit où ce modeste cours d'eau quitte le territoire communal. Le bourg est vers 60 mètres d'altitude.

La commune est située dans le bassin Loire-Bretagne. Elle est drainée par le ruisseau de Fresnay et le ruisseau du Grand Bat[2],[3],[Carte 1], affluents de l'Illet, sous-affluents de l'Ille, et font donc partie du bassin hydrographique du fleuve côtier Vilaine.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[5]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 783 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Feins à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 816,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

Typologie

Au , Saint-Sulpice-la-Forêt est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (30,8 %), zones agricoles hétérogènes (25,9 %), terres arables (19,8 %), forêts (16,6 %), zones urbanisées (6,8 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancto Sulpicio en 1046[16], ecclesia Sancti Sulpicii en 1200, paro chia Sancti Sulpitii de Abbatia en 1516. Jean-Baptiste Ogée la nomme "Saint-Sulpice-près-l'Abbaye" en 1778. L'origine est romane. Son nom vient de saint Sulpice, évêque de Bourges de 584 à 591, patron de son église paroissiale, et de sa situation en zone forestière. Sulpice est le nom d'une importante famille romaine. On l'interprète généralement comme un dérivé du latin vulpes, « renard », précédé du vieux préfixe indoeuropéen su-, « bon », « bien ». L'ancien nom est Saint-Sulpice des Bois[Quand ?][17]. En gallo, langue traditionnelle des habitants de Saint-Sulpice-la-Forêt, la commune est appelée L'Abaï[18].

Histoire

Antiquité

La voie romaine allant de Condate Riedonum (Rennes) à Legedia (Avranches) et Cosedia (Coutances) suivait le tracé de l'actuelle D 97 depuis les Gayeulles (en Rennes) jusqu'au hameau du Tronchay, filant ensuite plein nord, passant notamment par un hameau au toponyme révélateur "Le Chemin Chaussé" ; son tracé coïncide avec la limite communale entre Saint-Sulpice-la-Forêt et Mouazé[19].

Moyen-Âge

Un premier monastère (un simple couvent ?) aurait été fondé vers 992, par Conan Ier de Bretagne, pour célébrer sa victoire sur les Angevins[20].

Selon Albert Le Grand une abbaye qui comprenait deux couvents (l'un d'hommes, l'autre de femmes, soumis tous les deux à la supérieure du couvent des femmes) fut fondée par Raoul de La Fustaye vers 1112 en forêt du Nid-de-Merle (nom que portait alors la forêt de Rennes) sur un terrain n'appartenant à aucune paroisse ; il la dédia en 1117 à saint Sulpice.

Selon une vieille légende, un pâtre aurait trouvé une petite statue de la Vierge dans un nid de merle, au milieu de la forêt, au bord d'un étang ; elle y brillait merveilleusement et elle y revint à plusieurs reprises quand on voulut la transporter ailleurs. Une chapelle, appelée dans un acte de 1146 « capella Sancte Marie que est super stagnum » fut alors construite à cet endroit[21] ; elle est désormais connue sous le nom de "chapelle Notre-Dame-sur-l'eau".

Au début du XIIIe siècle, Pierre de Dinan, évêque de Rennes, accorda aux moniales de Saint-Sulpice la création d'une paroisse, dotée d'un prieuré-cure, occupé d'abord par des frères Condonats de Saint-Sulpice, puis par des Bénédictins. L'église initiale semble dater du XIIe siècle, donc serait antérieure à la création de la paroisse, construite probablement par l'abbesse pour les besoins spirituels de ses vassaux, un bourg monastique constitué pendant longtemps d'une rue unique (un village-rue, aussi village de défrichement) s'étant développé au voisinage de l'abbaye[22].

Un abbé de l'abbaye Saint-Sulpice de Bourges, Philippe, envoya en 1240 des reliques de saint Sulpice â l'abbaye de Saint-Sulpice-des-Bois et une partie de celles-ci fut rétrocédée à l'église paroissiale[22].

En 1432 le duc de Bretagne Jean V transfère au vendredi le droit de tenir foire et marché dans le bourg de Saint-Sulpice, droit accordé le dimanche par un de ses prédécesseurs[23].

Temps modernes

La paroisse de Saint-Sulpice était divisée en trois "traits" dénommés la Ville, la Corbière et la Rue. En 1630 une confrérie de la Nativité de Notre-Dame est érigée dans l'église paroissiale par le pape Urbain VII (une confrérie du Rosaire existait dans l'église abbatiale). Deux chapelles existaient : Notre-Dame-sur-l'Eau et Saint-Nicolas (toutes deux disparues, de même que l'église abbatiale). En 1714 l'abbesse de Saint-Sulpice-des-Bois payait au recteur-prieur une portion congrue de 300 livres[22].

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Sulpice-la-Forêt en 1778 :

« Saint-Sulpice-près-l'Abbaye ; dans un fond, à 3 lieues au Nord-Est de Rennes, son évêché et son ressort ; et à 3 lieues de Saint-Aubin-du-Cormier, sa sous-délégation. On y compte 350 communiants[Note 4] : la cure est présentée[Note 5] par l'Abbesse de Saint-Sulpice. Cette paroisse est située au bord de la forêt de Rennes, qui appartient au Roi, et contient environ cinq mille cinq cents vingt arpents , plantés en futaie et taillis ; il n'y en a qu'une partie dans ce territoire, qui est arrosé de différents ruisseaux , qui prennent leur source dans l'étang Neuf et l'étang des Comtes, situés à l'entrée de la forêt : au reste, les productions du terroir sont le grain, le foin et le cidre. L'an 1160, Étienne, évêque de Rennes, accorda à Marmoutier la présentation de cette cure et les deux tiers du casuel. La paroisse a deux hautes justices, dont l'une s'exerce à Vitré : elles appartiennent toutes les deux à l'abbesse de Saint-Sulpice[24]. »

Jean-Mathurin Le Beschu, pourvu de la cure en 1782, fut le dernier recteur de l'Ancien Régime, restant en place jusqu'au début de la Révolution française[22].

Révolution française

Le général de la paroisse de Saint-Sulpice-des-Bois se réunit le en vue de la préparation des États généraux sous la présidence de Fortunat-Toussaint Louvel, sénéchal de l'abbaye de Saint-Sulpice en présence de 21 paroissiens ; Jean Gehors et Jean Buffé furent élus pour représenter la paroisse à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée. Il n'y eut pas de cahier de doléances rédigé[25].

Les religieuses sont chassées de l'abbaye, devenue bien national, en 1792. Vendue, elle devient une carrière de pierres. Le moulin de l'abbaye, ancien moulin banal[26], est désaffecté et l'Étang Neuf est, quelques années plus tard, asséché[27].

Le XIXe siècle

Après le Concordat, Saint-Sulpice perd son statut de paroisse et son territoire est uni à celle de Chasné, avant qu'une ordonnance royale ne la restaure en 1820[28].

En 1827 la commune de Saint-Sulpice-des-Bois prend le nom de Saint-Sulpice-la-Forêt. En 1846 une maison est achetée dans le centre du bourg pour en faire une école au rez-de-chaussée et une mairie à l'étage (la mairie est transférée en 1865 dans une autre maison). Une nouvelle mairie-école est construite en 1885[27].

La commune compte seulement 389 habitants en 1846, dont 98 au bourg, répartis en 27 ménages[28].

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Sulpice-la-Forêt en 1853 :

« Saint-Sulpice-près-l'Abbaye ou Saint-Sulpice-la-Forêt (sous l'invocation de saint Sulpice, évêque de Bourges, fêté le 17 janvier) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (..) Principaux villages : la Corbière, Maison-Neuve, Laudret, le Feuillet. Superficie totale 671 hectares 77 ares, dont (..) terres labourables 297 ha, prés et pâturages 52 ha, bois 98 ha, vergers et jardins 10 ha, landes et incultes 171 ha, étangs 11 ha (..). Moulin de l'Abbaye. Le bourg, jeté à l'un des angles de la belle forêt de Rennes, est contigu aux bâtiments de l'ancienne abbaye de Saint-Sulpice, actuellement propriété particulière. Dans ces dernières années, un propriétaire, peu admirateur d'archéologie, a fait sauter la presque totalité de l'église de cette abbaye : les bâtiments privés sont seuls restés debout. Nous y avons remarqué une partie restaurée dans le commencement du XVe siècle et qui, si nous avons bonne mémoire, porte une inscription au nom de l'abbesse Gillette de Tulle. Le propriétaire actuel, M. Evain, sous-intendant militaire, a fait procéder à quelques restaurations très intelligentes. (..) Il y avait jadis, en Saint-Sulpice, deux étangs assez beaux, dont l'un avait plus de 10 ha de superficie. Il n'en reste plus qu'un aujourd'hui, encore parle-t-on de le dessécher. Le territoire de Saint-Sulpice contient quelques bois et de belles prairies. Le paysage offre partout des points de vue charmants, quoique la plupart soient limités par la forêt de Rennes. Géologie : schiste argileux. On parle le français [en fait le gallo][29]. »

En 1853, le jour de l'Ascension, le feu prit en forêt de Rennes dans le quartier dit de la Mine : «  le tocsin a sonné dans les communes de Liffré, Betton, Saint-Sulpice et Thorigné. Les curés de ces communes sont accourus à la tête de leurs paroissiens, avec un zèle admirable ». Plus de 20 hectares ont été brûlés[30].

Le XXe siècle

La Belle Époque

Une ligne des Tramways d'Ille-et-Vilaine, partant de Mi-Forêt (en Liffré), via Saint-Sulpice-la-Forêt, Chasné, Saint-Aubin-d'Aubigné et Andouillé-Neuville, rejoignant la ligne précédemment cité à Sautoger (au sud de Sens) ouvrit en 1905 et ferma en 1937 ; sa construction suscita quelques polémiques[31]. La gare de Saint-Sulpice-la-Forêt se trouvait entre le domaine de l’abbaye et le lieu-dit « La Loge »[32].

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Saint-Sulpice-la-Forêt porte les noms de 18 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : tous sont morts sur le sol français, une incertitude existant toutefois pour 2 d'entre eux dont ni le lieu ni la date de décès ne sont indiqués[33].

L'Entre-deux-guerres

Le monument aux morts[34] fut inauguré le en présence d'une foule énorme. «  Pas une maison qui ne fut décorée avec goût et souvent avec art. Partout drapeaux, ars de triomphe, arbustes, fleurs, guirlandes ornant les rues et produisant le plus gracieux effet. L'église était trop petite pour contenir la nombreuse assistance qui s'y pressait. À l'issue de la cérémonie religieuse a eu lieu l'inauguration du monument érigé au cimetière en bordure de la route de Liffré. Cette œuvre de M. Savinet est une stèle en granit sur le piédestal de laquelle sont gravés les noms des 17 héros de la commune »[35].

La commune demande en 1921 l'installation du téléphone (elle avait refusé en 1909) ; le bourg est électrifié en 1933 et la rue du bourg goudronnée en 1938[27].

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Saint-Sulpice-la-Forêt porte les noms de 3 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale : parmi eux, Joseph Lesné, mort des suites de ses blessures sur le paquebot Président Doumer le dans le port de Brest ; Jacques Lebreton, matelot à bord du cuirassé Bretagne, tué lors de l'attaque anglaise de Mers el-Kébir le et Prosper Alleaume, prisonnier de guerre, victime d'un bombardement allié le à Munich (Allemagne)[33].

Après le débarquement de Normandie un camion gazogène chargé de bois stationné près du cimetière est mitraillé par un avion allié ; des tombes et des croix du cimetière, ainsi que des vitraux et le coq surmontant le clocher de l'église sont endommagés. La commune est libérée dans la nuit du 1 au par deux tanks américains après que des convois allemands chargés de munitions provenant du camp Maria aient été attaqués, notamment à Saint-Denis et à Champie[27].

L'après Seconde Guerre mondiale

Louis Blanchet, tirailleur au 15e régiment de tirailleurs sénégalais, est mort pour la France le lors de la Guerre d'Algérie[33].

Le centre aéré Dominique Savio, ouvert dans la décennie 1960 et toujours en activité a accueilli pendant des décennies des générations de jeunes Rennais, garçons et filles, pour de grands jeux en forêt, des rallyes pédestres, des parties de football, des initiations à la natation, etc.[36].

Héraldique et logotype

Héraldique

Blasonnement :

D'argent à l'église de sinople, maçonnée et essorée de sable ; à la barre palée de sable et d'argent.[37]

Signification du logotype

Logotype de la Ville de Saint-Sulpice-la-Forêt :

Signification à compléter

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Circonscriptions de rattachement

Saint-Sulpice-la-Forêt appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Liffré depuis sa création.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Tristan Lahais (G·s). Sous le Second Empire, elle appartenait à la circonscription de Rennes, de 1876 à 1919 à la deuxième circonscription de Rennes, de 1928 à 1940 à la première circonscription de Rennes, de 1958 à 1986 à la 1re circonscription (Rennes-Nord) et enfin de 1986 à 2010 à la 6e circonscription (Fougères).

Intercommunalité

Depuis le , la commune appartient à Rennes Métropole (anciennement Rennes District). Auparavant, Saint-Sulpice-la-Forêt était ce qu'on appelle une commune isolée, c'est-à-dire n'appartenant à aucune intercommunalité.

Saint-Sulpice-la-Forêt fait aussi partie du Pays de Rennes.

Institutions judiciaires

Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce, de la cour d'appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[38].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 René Mathieu Cuisnier[Note 6]   Ancien chirurgien de l'abbaye de Saint-Sulpice-des-Bois.
1793 1798 Jean Ruaudel[Note 7].   Agent national.
1799 1815 Joseph Elie[Note 8]   Laboureur.
1816 1826 Mathurin Touffait[Note 9]   Cultivateur.
1827 1830 René Prosper Cuisnier[Note 10]   Fils de René Mathieu Cuisnier, premier maire de la commune.
1831 1835 Jean Ruaudel   Déjà agent national (maire) entre 1793 et 1798.
1836 1843 René Prosper Cuisnier   Déjà maire entre 1827 et 1830.
1844 1852 François Moulin[Note 11]   Maréchal-ferrant.
1852 1860 Pierre Marie Mouton[Note 12]   Aubergiste.
1860 1883 Jules Gay[Note 13]   Propriétaire.
1883 1884 François Trubert[Note 14]   Cultivateur.
1884 1889 Hyacinthe Alleaume[Note 15]    
1889 1896 Mathurin Cheminet[Note 16]    
1896 1908 François Aubrée[Note 17]   Cultivateur.
1908 1939 François Trubert[Note 18]   Cultivateur. Fils de François Trubert, maire en 1883-1884. Dénommé à tort Travert dans un article de journal en 1919[39].
1939 1944 Francis Lebastard[Note 19]   Agriculteur.
1944 mars 1971 Aristide Rey du Boissieu[Note 20]   Agriculteur. Maire honoraire
Croix de guerre 1914-1918
mars 1971 mars 1977 Francis Day[Note 21].   Cultivateur. Adjoint au maire (1959 → 1971)
mars 1977 juin 1995 Michel Descormiers   Retraité
juin 1995 7 avril 1999[40]
(démission)
Gilles Siroy   Ingénieur et conseil en organisation
24 juin 1999[41] 23 mars 2001 Gérard Lescoat DVG Directeur de recherche CNRS, 1er adjoint (1995 → 1999)
23 mars 2001 23 mars 2008 Yves Nicolas DVG  
23 mars 2008 28 mars 2014 Jean-Yves Duval   Ancien responsable d'un négoce de matériaux plastiques
28 mars 2014 En cours
(au 27 mai 2020)
Yann Huaumé[42] DVG[43] Directeur associatif
18e vice-président de Rennes Métropole (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[44]

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].

En 2022, la commune comptait 1 557 habitants[Note 22], en évolution de +19,59 % par rapport à 2016 (Ille-et-Vilaine : +5,46 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
377239380442387343295389443
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
343380400398420412393350350
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
364358382370350321308319306
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2993255097311 0641 3071 4291 4331 302
2021 2022 - - - - - - -
1 4991 557-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'abbaye Notre-Dame du Nid-au-Merle (photographies anciennes)
L'abbaye Notre-Dame du Nid-au-Merle (photographies récentes)
La chapelle Notre-Dame-sur-l'Eau
  • L'église paroissiale Saint-Sulpice, de structure romane bâtie à la fin du XIIe siècle - début du XIIIe siècle, de style roman mais avec des influences gothiques liés aux remaniements des XVe siècle et XVIe siècle ; la façade occidentale a été reconstruite en 1675 et le chœur dans la seconde moitié du XVIIIe siècle ; ce dernier est surmonté d'une croix faîtière[54],[55]. L'église possède un mobilier religieux diversifié : bénitier et fonts baptismaux datent du Bas Moyen-Âge, mais la plupart des œuvres datent du XVIIIe siècle (lambris, tableaux du retable, sacristie, etc..)[56].
L'église paroissiale Saint-Sulpice

Smart Saint-Sulpice

Saint-Sulpice-la-Forêt est considérée comme une des plus petites Smart City au monde depuis 2016. Son maire de l'époque et vice-président « numérique et ville intelligente » de Rennes Métropole, Yann Huaumé, a déployé des capteurs connectés dans 6 des bâtiments communaux permettant de connaitre en temps réel leur consommation[57]. Pour le montage global du projet, la commune s'est appuyée sur Rennes Métropole qui y a vu un lieu d'expérimentation grandeur nature pour des solutions qui pourraient être déployées à l'échelle de la métropole[58]. Saint-Sulpice a également fait appel à la startup Wi6Labs, spécialiste des questions de villes intelligentes en zones rurales et périphériques, et à la PME Alkante permettant de gérer et d'analyser les données issues des capteurs.

La collectivité a ainsi réduit sa consommation énergétique des bâtiments publics de 20 % dès les trois premières années grâce à l'identification de fuites et de comportements inadaptés (économies de 8 000 €). La commune a remporté le trophée breton du développement durable en 2019, le label d'or des territoires innovants dans la catégorie Smart city environnement du Forum des interconnectés à Lyon en 2017, et la région Bretagne compte financer le développement de ce projet sur toute la commune pour un budget de 40 000 €.

Activité et manifestations

  • Union sportive Saint-Sulpice-la-Forêt : club de football créé en 1968, dont l'équipe première évolue actuellement en première division de district. Elle connut ses heures de gloire au début des années 1980 lorsqu'elle évoluait en division régionale d'honneur. Plus récemment, elle réussit à atteindre la promotion d'honneur, en 2004.
En , l'US Saint-Sulpice-la-Forêt fusionne avec les clubs voisins de Chevaigné et de Mouazé, pour fonder l'Union sportive Illet-Forêt
ASC : Association socio-culturelle.

Le marché de Saint-Sulpice-la-Forêt a lieu place René-Mathieu Cuisnier, le jeudi et vendredi soir[59].

Le Guibra situé dans le bourg de la commune, est un bar équipé d'un dépôt de pain proposant divers services[60].

L'école publique Niki de Saint Phalle accueille les enfants de maternelle et d'élémentaire.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

  1. Population municipale 2022, légale en 2025.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Personnes en âge de communier.
  5. Le droit de présentation est le droit de choisir la personne nommée, seulement bénie ensuite par l'évêque.
  6. René Mathieu Cuisnier, né à Saint-Christophe (évêché de Tours), décédé le à Saint-Sulpice-des-Bois [Saint-Sulpice-la-Forêt].
  7. Jean-Baptiste Ruaudel, né le à Chasné-sur-Illet, décédé le à Thorigné -sur-Vilaine.
  8. Joseph Julien Jean Elie, né le à Saint-Sulpice-des-Bois [Saint-Sulpice-la-Forêt], décédé le à Saint-Sulpice-des-Bois [Saint-Sulpice-la-Forêt].
  9. Mathurin Touffait, né le à Chevaigné, décédé le à la Corbière en Saint-Sulpice-la-Forêt.
  10. René Prosper Cuisnier, né le au bourg de Saint-Sulpice-des-Bois, décédé le au bourg de Saint-Sulpice-des-Bois.
  11. François Moulin, né le à Chasné-sur-Illet, décédé le à Saint-Sulpice-la-Forêt.
  12. Pierre Marie Mouton, né vers 1827, décédé le à Saint-Sulpice-la-Forêt.
  13. Pierre Jules Gay, né vers 1827, décédé le aux Loges en Saint-Sulpice-la-Forêt.
  14. François Trubert, né le à Melesse, décédé le à Saint-Sulpice-la-Forêt.
  15. Hyacinthe Alleaume, né le à Chasné-sur-Illet, décédé le à Saint-Sulpice-la-Forêt.
  16. Mathurin Cheminet, né le , rue Rennaise à Saint-Sulpice la Forêt, décédé.
  17. Probablement François Aubrée, né le à Domloup, décédé.
  18. François Trubert, né le à Champie en Saint-Sulpice-la-Forêt, décédé le à Saint-Sulpice-la-Forêt.
  19. Francis Lebastard, né le ¥ à Saint-Aubin-d'Aubigné, décédé le à Saint-Sulpice-la-Forêt.
  20. Aristide Rey du Boissieu, né le à Rennes, décédé le à Saint-Sulpice-la-Forêt.
  21. Francis Day, né le à Chasné-sur-Illet, décédé le à Saint-Sulpice-la-Forêt.
  22. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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Références

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Voir aussi

Bibliographie

  • Bertrand Hardy de la Goupillière, Saint-Sulpice-la-Forêt et son abbaye, depuis les origines de l'abbaye jusqu'à nos jours. 122 pages + documents, (Archives d'I&V - 2 J 1029).
  • Abbé Anger, Histoire de l'Abbaye de Saint-Sulpice, de ses relations, de la vie religieuse au moyen âge et au XVIIIe siècle. Bulletin et mémoires de la Société Archéologique du département d'Ille-et-Vilaine, tome XLV, 1915.

Liens externes

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