Le Préjugé à la mode
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Le Préjugé à la mode est une pièce de théâtre en 5 actes et en vers de Pierre-Claude Nivelle de la Chaussée représentée pour la première fois par les comédiens français, le , au Théâtre de la rue des Fossés Saint-Germain, à Paris.
Première comédie larmoyante historique, cette pièce est emblématique d’un genre théâtral émergeant qui déplace les valeurs aristocratiques de la tragédie vers le drame bourgeois[1].
Rôles
- Constance : Mademoiselle Gaussin.
- D’Urval, époux de Constance : Quinault-Dufresne.
- Sophie, nièce d’Argant : Mademoiselle Quinault.
- Damon, ami de D’Urval, amant de Sophie : Montmény.
- Argant, père de Constance, Duchemin.
- Clitandre, marquis, Grandval.
- Damis, marquis, Du Breüil.
- Florine, suivante de Constance, Mademoiselle Dangeville.
- Henri, valet-de-chambre de D’Urval, Armand.
Résumé
La scène est au château de D’Urval.
Acte I
Damon ouvre la scène avec Constance, femme de son ami D’Urval. Damon semble surpris qu’une femme aussi peu heureuse dans son mariage le défende autant, car son époux, qui l’aime, n’ose l’avouer, même à elle, par crainte du ridicule de l’amour conjugal. Il affecte donc une indifférence calculée vis-à-vis de sa femme, au désespoir, mais qui cache ses larmes avec autant de soin que son mari lui cache son amour.
Constance promet à Damon, amoureux de sa cousine Sophie, de tout tenter pour vaincre la répugnance qu’elle a pour le mariage, précisément à cause du préjugé à la mode qui consiste à ridiculiser l’amour conjugal. Constance reçoit de splendides présents de son mari mais, comme il n’ose dire qu’ils viennent de lui, elle les refuse, pensant qu’ils viennent de Clitandre et Damis, deux sots petits-maitres amis de son mari, qui lui font la cour.
Acte II
Constance n’est pas venue à la chasse. Lorsque D’Urval met Damon dans la confidence de son amour pour sa femme, ce dernier l’encourage vivement à se déclarer à Constance. Lorsqu’il se trouve en présence de sa femme, il tourne, tergiverse, se répand en généralités et en allusions et, alors qu’il allait se laisser deviner, les deux marquis arrivent, en riant aux éclats d’un mari qui est allé vivre à la campagne en tête-à-tête avec sa femme. D’Urval se contraint pour rire, et, comme une comédie a été écrite sur cette aventure, il accepte d’interpréter le rôle du mari dans l’Époux amoureux de sa femme, avant de se raviser et de décider de s’éloigner de sa femme. Il charge son ami de retirer d'entre les mains d'un peintre un portrait qu'il a fait faire de sa femme, et qui lui servira, dit-il, à adoucir les peines de l'absence.
Acte III
Damon, qui a eu une conversation avec Sophie, laisse entendre qu'il a empêché le départ précipité de son ami D’Urval. Il est sûr de pouvoir le faire revenir de son préjugé, qu’il demande à Sophie de consentir à recevoir sa main, pourvu que D’Urval vienne à résipiscence, Sophie consent d'autant plus volontiers qu'elle croit la chose impossible.
Damon revient à la charge pour faire parler D’Urval, qui consent enfin à aller parler à sa femme. Damon parti, sa bonne disposition faiblit et il prend le parti d'écrire « L'ingrat que vous pleurez ne fait plus vos malheurs. » à Constance. Son valet ayant rapporté l’écrin parce que D’Urval a oublié de mettre l'adresse. Commençant à se repentir d'avoir envoyé cette lettre à Constance, il profite de ce contretemps pour supprimer la lettre, et la remplacer par des diamants posées sur la toilette de Constance.
Acte IV
Ayant trouvé l’écrin sur sa toilette, Constance le fait renvoyer par sa soubrette, qui le remet aux marquis, ne voyant qu’eux pour offrir de tels cadeaux, mais ne sachant auquel des deux le rendre. De là un débat, où chacun des deux refuse l’écrin, mais se prétend aimé : l’un montre un portrait, qu’il a dérobé chez le peintre. D’Urval, qui assiste à l’entretien, troublé, court chez sa femme, qui s’évanouit à ses reproches furieux. De sa poche tombe un paquet de lettres : nouvelle preuve d’infidélité. Devant toute la maison accourue à ses cris, D’Urval ouvre ces lettres accusatrices, en distribue à tout le monde, mais il s’avère qu’elle sont de la main de D’Urval. Il s’agit de lettres qu’il avait écrites à une duchesse et que celle-ci a envoyées à Constance pour se venger de son abandon. Désespéré, confus, D’Urval, se laisse un peu réconforter par Damon, et persuader de demander son pardon, quoiqu’il continue de croire Constance coupable du don de son portrait à Damis.
Acte V
Damon apprend à D’Urval que Damis ayant été par hasard chez le peintre qui faisait le portrait de Constance, l’avait envoyé chercher par un de ses domestiques, et s’était vanté de l’avoir reçu de Constance même. D’Urval n’ose se présenter devant Constance pour s’excuser. Lors d’un bal qui a lieu le soir même au château, D’Urval sous un domino semblable à celui de Damon se fait passer pour ce dernier, à qui Constance a demandé un entretien, pour lui ouvrir son cœur. Elle dit des choses si touchantes au faux Damon, qu’il se démasque et se jette à ses pieds. Damon également est heureux car les préventions de Sophie contre les maris sont tombées. Argant finit la pièce en mettant les mains de Sophie et de Damon l’une dans l’autre.
Genèse
L’idée initiale du Préjugé à la mode revient à Quinault cadette. Cette actrice applaudie au théâtre était également très recherchée à la ville par ses contemporains, surtout les auteurs, parce qu’elle était d’excellent conseil en matière dramatique, et qu'il lui venait souvent d’heureuses idées dont elle leur faisait généreusement part[2]. Une parade sur quelque théâtre de la foire, à laquelle elle avait assisté lui a donné non seulement une idée de sujet, mais surtout la pensée d’un genre tout nouveau, une sorte de tragédie bourgeoise, qu’elle a initialement proposé à Voltaire[3]. Devant le refus de ce dernier, Quinault a proposé son idée à La Chaussée, qui a, lui, trouvé l’idée bonne et en a fait tout de suite sa première comédie larmoyante à succès[4].
Critique
La question de la réception du Préjugé se dissocie difficilement de celle du genre larmoyant tout entier, puisque cette pièce en est le prototype. Même s’il a effectué, en 1748, un ralliement de façade au genre larmoyant avec Nanine ou le Préjugé vaincu, Voltaire n'a jamais pardonné à Quinault cadette d'avoir été à l'origine de ce qu'il avait toujours considéré comme une fâcheuse innovation dramatique. Aussi tard que le , il écrit au marquis de Thibouville : « J'étranglerais Mile Dufresne pour avoir traduit ce misérable gout des tragédies bourgeoises, qui est le recours des auteurs sans génie[5]. » L’année de la sortie de la comédie de La Chaussée, Voltaire fait représenter une pièce aux antipodes du Préjugé. la Mort de César, qu’il présente au critique l’abbé Desfontaines comme d’une pièce « tout opposée au gout de notre nation », où il n'y a pas de femmes, où il n'est question que de l'amour de la patrie[6], est l’archétype de la tragédie classique. L’article « art dramatique » du Dictionnaire philosophique dénigrera le genre larmoyant comme « une espèce bâtarde qui, n’étant ni comique ni tragique, manifestait l’impuissance de faire des tragédies et des comédies[7]. ».
Genre
Donnée au théâtre, deux ans avant le Préjugé à la mode, la Fausse antipathie de La Chaussée, est considérée, avec son orientation vers une dramaturgie plus sensible privilégiant les émotions humaines, notamment la souffrance et la vulnérabilité, comme prélude au genre larmoyant. En 1735, le Préjugé à la mode évolue en brouillant la distinction entre comédie et tragédie pour susciter des larmes plutôt que le rire. Alors que l'on pleurait peu dans la Fausse Antipathie, les larmes en réaction aux émotions intenses exprimées par les personnages, deviennent une composante centrale du Préjugé à la mode.
Les ennemis du genre larmoyant en font une question normative : les dramaturges n’ont pas le droit de changer les règles régissant la comédie. Les Anciens du siècle de Molière n’ont jamais sanctionné la correction des mœurs autrement que « ridendo », par le rire[8].
Les qualités versificatrices et empathiques de La Chaussée faisant consensus tant chez ses critiques que ses partisans, les succès indéniables qu’il remporte auprès du public sont en revanche informés par le jugement qu’ils portent sur le nouveau genre. Tandis que les esprits novateurs saluent un renouvellement de la comédie[9], les conservateurs blâment le public dont le gout se serait perverti[10], voire féminisé, le public féminin ayant été particulièrement réceptif aux innovations de La Chaussée[11].
Le succès de la comédie larmoyante auprès du public s’explique par l’ouverture de la comédie bourgeoise aux valeurs aristocratiques de la tragédie. Pour les conservateurs sociaux, comme Voltaire, si le larmoyant a plus de succès au théâtre que ses tragédies classiques dans le genre du Grand Siècle, c’est parce que le gout de ses contemporains s’est corrompu[6]:396. D’autres critiquent également le genre larmoyant en tentant d’en démontrer l’inutilité par une critique du sujet de la pièce, qui dénonce le thème du Préjugé comme extravagant, ridicule et étranger à tous les honnêtes gens[3]. Romagnesi et Riccoboni, dans les Ennuis du carnaval, font dire à l’Opinion, au sujet de ce préjugé, que « C’est un travers et non pas une mode[12]. »
Réception
Le Préjugé à la mode, a connu vingt représentations, ce qui est beaucoup de pour l’époque. Repris, le 13 décembre de la même année, il a connu la même réussite[a]. La question de la réception de cette pièce ne se dissocie pas de celle du genre larmoyant tout entier, puisqu’elle en est le prototype.
La Harpe écrit que le Préjugé à la mode n’est pourtant pas à beaucoup près la meilleure des pièces de La Chaussée. C’est même, celle des quatre qu’il a établies au théâtre, qu’il aime le moins, mais il ne peut s’empêcher de reconnaitre que le Préjugé à la mode a vraiment été l’époque d’une révolution, et que son grand succès a annoncé un genre nouveau qui a partagé les esprits[14].
L’abbé Prévost, dans le Pour et Contre, se range à l’avis du public, sur le fond : « Ce serait choquer le jugement du public que de prendre absolument de prendre absolument parti contre cette pièce. Les suffrages unanimes sont rarement sujets à l’erreur, et je ne sais si d’un grand nombre de spectateurs qui ont couru jusqu’à présent à toutes les représentations, il en est sorti un seul sans avoir applaudi[15] ». Sa critique se borne à des points de détail comme l’imperfection de certains aspects de la trame actantielle, ou des défauts dans les traits ou les caractères de certains personnages.
D’abord critique, Desfontaines qui avait écrit au sujet du Préjugé que « L’esprit est amusé, et le gout est flatté ; mais les mœurs n’y font point peintes, et le ridicule des hommes n’est pas seulement effleuré[16]. » finit par relativiser son opinion après le succès de l’École des amis, pour reconnaitre, « À l’égard du genre de cette comédie, genre qui ne sera jamais de mon gout, il a enfin reçu son passeport. Oui, ce genre de comédies sérieuses, sublimes même et pathétiques, qu’on pourrait nommer des tragédies bourgeoises […] car enfin les comédies dont il s’agit, sont-elles autre chose que des romans dialogues et en action[17] ? ». Fréron finit également par être séduit par les pièces proprement pathétiques et défend « un genre nouveau [qui] sympathise mieux avec nos caractères, nos usages et nos façons de penser[18]. »
Analyse
Comme le dit Damon, le confident de d’Urval, « Si la mode empoisonne un naturel heureux, À quoi sert le bonheur d'être né vertueux ? » La « mode » qui empêche d’Urval de montrer ses sentiments à sa femme est celle qui « on a fait de l'amour conjugal Un parfait ridicule, un travers sans égal ». Même si Argant se demande où sa fille peut bien « avoir pris une idée aussi creuse », celle-ci lui répond : « Sur tout ce que je vois. » Quant à l'amour conjugal, « Cet usage n'est plus que chez la bourgeoisie ». Comme l’a dit Sophie, la raison pour laquelle d’Urval n'ose avouer ses sentiments à son épouse légitime à cause de ce que cette affection peut signifier de « conjoint » et surtout, de bourgeois. D’Urval renâcle à la perspective de devoir reconnaitre son amour pour son épouse car cette démarche représente une menace pour le préjugé social aristocratique qui l’habite[19]. S’y conformer serait en quelque sorte déroger à son statut social. Ce n’est pas une coïncidence si les deux petits-maitres qui se moquent, au début de la pièce, d’un mari qui s’est retiré en tête-à-tête avec sa femme à la campagne, et tentent de détourner la fidélité de Constance, sont des marquis volages. Le changement de paradigme du Préjugé à la mode signale l’ascension des valeurs de la bourgeoisie en tant que classe dominante, qui aboutira au drame bourgeois[1].
Adaptations
Ignacio de Luzán, auteur d’une poétique, d’une rhétorique, a publié une adaptation du Préjugé à la mode (La razón contra la moda), en 1751[20], pour en tirer argument en faveur d’une réforme du théâtre en Espagne[10].
Éditions
- Le Préjugé à la mode, comédie en vers et en cinq actes, Paris, Le Breton, , vi-120 p., in-12 (OCLC 1176896877, lire en ligne sur Gallica).
Notes et références
Notes
- ↑ Cette comédie a même été interprétée par le due de Duras dans le rôle de Durval et la Pompadour, dans le rôle de Constance, à la salle de spectacle du château de Bellevue[13].
Références
- (en) Julie C. Hayes, « A Theater of Situations : Representation of the Self in the Bourgeois Drama of La Chaussée and Diderot », dans The Many Forms of Drama, Lanham, UPs of America, , x-143 p., 23 cm (ISBN 978-0-81914-609-0, OCLC 11785617, lire en ligne).
- ↑ Albert Aubert, « Lettre inédite de Voltaire : adressée à Mlle Quinault-Dufresne, de la Comédie-Française », Le National, Paris, vol. 17, , p. 1 (ISSN 2533-9249, lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
- Julien-Louis Geoffroy, Cours de littérature dramatique ou recueil par ordre de matières, t. 3, Paris, P. Blanchard, , 2e éd., 6 vol. in-8º (OCLC 5395337, lire en ligne), p. 210.
- ↑ Georges Bengesco, Les Comédiennes de Voltaire : études sur le XVIIIe siècle, Paris, Perrin, , 328 p., in-18 (OCLC 1143055974, lire en ligne sur Gallica), p. 75 & 81.
- ↑ Voltaire, Œuvres complètes de Voltaire, t. 38, Paris, L. Hachette, 46 vol. ; in-18 (lire en ligne sur Gallica), « Correspondance. MMMDXV.I », p. 422.
- Henri Lion, Les Tragédies et les théories dramatiques de Voltaire, t. 1, Paris, Hachette, , xi-476 p., in-8º (OCLC 872250984, lire en ligne), p. 53-4.
- ↑ Œuvres de Voltaire : Dictionnaire philosophique, t. 27, Paris, Firmin Didot, , 571 p., 5 vol. ; in-8º (lire en ligne sur Gallica), « art dramatique », p. 103.
- ↑ Pierre-Mathieu Martin de Chassiron (d), Réflexions sur le comique-larmoyant, Paris, Durand & Pissot, , viii-77 p., in-8º (OCLC 828821400, lire en ligne sur Gallica).
- ↑ Jean Goldzink, Les Lumières et l’idée du comique, Cahiers de Fontenay, (lire en ligne sur Gallica), chap. 11, p. 18.
- Catherine François-Giappiconi, « Nivelle de La Chaussée et la critique », dans Malcolm Cook, Marie-Emmanuelle Plagnol-Diéval, Critique, critiques au 18e siècle, Oxford, Peter Lang, , 308 p., in-8º (ISBN 978-3-03910-537-3, OCLC 77482353, lire en ligne), p. 88.
- ↑ Gustave Lanson, Les Origines du drame contemporain : Nivelle de La Chaussée et la comédie larmoyante, Paris, Hachette, , vi-322 p., in-8º (OCLC 1143046689, lire en ligne sur Gallica), p. 151.
- ↑ Jean-Antoine Romagnesi et Antoine-François Riccoboni, Les Ennuis du Carnaval, comédie en vers, en 1 acte, Paris, Prault fils, , 50 p., in-8º (OCLC 763376141, lire en ligne sur Gallica).
- ↑ Franck Devedjian, « Mme de Pompadour sur scène : le théâtre du château de Bellevue, à Meudon », Versalia, Versailles, no 19, , p. 145-158 (ISSN 2802-1274, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Jean-François de La Harpe, Lycée : ou Cours de littérature ancienne et moderne, t. 2, partie 1, Paris, Didier, , x-936, 1010 p., 3 t. en 2 vol. : portr. ; in-8º (OCLC 1277288613, lire en ligne sur Gallica), p. 54.
- ↑ Antoine François Prévost, Le Pour et Contre : ouvrage périodique d'un gout nouveau. Dans lequel on s'explique librement sur tout ce qui peut intéresser la curiosité du public, en matiere de sciences, d'arts, de livres, d'auteurs, &c., t. 3, La Haye, Isaac van der Kloot, , 315 p., in-8º (ISSN 2955-4551, OCLC 73127186, lire en ligne), p. 76.
- ↑ « De la comédie », dans Joseph de La Porte (préf. Claude Marie Giraud), L’Esprit de l’abbé Des Fontaines : ou réflexions sur differens genres de science et de littérature, t. 1, Paris, Duchesne, , lvi-2-432 p., 4 vol. ; in-12 (lire en ligne sur Gallica), p. 163.
- ↑ « De la comédie », dans Joseph de La Porte (préf. Claude Marie Giraud), L’Esprit de l’abbé Des Fontaines : ou réflexions sur differens genres de science et de littérature, t. 4, Paris, Duchesne, , 488 p., 4 vol. ; in-12 (lire en ligne sur Gallica), p. 243.
- ↑ Élie Fréron, « Lettres sur quelques écrits du temps », dans Francisque Vial, Louis Denise (éds.), Idées et doctrines littéraires du XVIIIe siècle : extraits des préfaces, traités et autres écrits théoriques, t. IV, Lettre 1, p. 3-22, Paris, Ch. Delagrave, , viii-430 p., in-12 (OCLC 944729534, lire en ligne sur Gallica).
- ↑ (en) Jeffrey Leichman, « Acting Lessons at the Comédie Française : Nivelle de la Chaussure and the Theatricalization of Bourgeois Morality », dans Stratos E. Constantinidis, Text & presentation, Jefferson, McFarland, , ix-250 p., in-8º (ISBN 978-0-78643-077-2, OCLC 137263279, lire en ligne), p. 134.
- ↑ Marcelin Défourneaux, « Molière et l'Inquisition espagnole », Bulletin hispanique, Paris, vol. 64, nos 1-2, , p. 30-42 (ISSN 1775-3821, lire en ligne, consulté le ).
Liens externes
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