Fontenoy-la-Joûte

Fontenoy-la-Joûte

Entrée du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes du Territoire de Lunéville à Baccarat
Maire
Mandat
Florence Dupays
2020-2026
Code postal 54122
Code commune 54201
Démographie
Population
municipale
311 hab. (2022 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 22″ nord, 6° 39′ 37″ est
Altitude Min. 268 m
Max. 352 m
Superficie 10,89 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Baccarat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Baccarat
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Fontenoy-la-Joûte
Géolocalisation sur la carte : France
Fontenoy-la-Joûte
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Fontenoy-la-Joûte
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Fontenoy-la-Joûte
Liens
Site web www.fontenoy-la-joute.com

Fontenoy-la-Joûte est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est. Depuis 1996, elle est un des villages du livre en France.

Géographie

À 55 km au sud-est de Nancy, entre Lunéville et Saint-Dié et à 6 km de Baccarat, Fontenoy-la-Joûte est un village en étoile, variante du village-rue, bâti à la croisée des chemins qui desservaient les champs.

Communes limitrophes de Fontenoy-la-Joûte
Moyen Flin
Domptail
Vosges
Glonville
Ménarmont
Vosges
Bazien
Vosges

Hydrographie

La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Hairy, le ruisseau de la Boulangere, le ruisseau le Mazurot, le ruisseau le Xarupt et le ruisseau Solvimpre[1],[Carte 1].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 949 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −24,5 °C, atteinte le [Note 2],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

Typologie

Au , Fontenoy-la-Joûte est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Baccarat, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,9 %), prairies (24,1 %), terres arables (16,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,9 %), cultures permanentes (3,7 %), zones urbanisées (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Anciennes mentions : Ecclesia de Fonteneis (1120), Fonteneium (1124), Fonteneirs (1129), L'Étang de Funtenoy (1290), Fontenoy-en-Voge (1394), Fointenoy (1601), Fontenoy-la-Joute en 1802[14], Fontenoy-la-Jotte en 1635[15].

Fontenoy dérive du latin-roman Fontana auquel s'est ajouté le suffixe etum. L'ensemble peut être interprété comme source, fontaine, point d'eau[15].

L'origine du mot Joûte est plus complexe. Dans la tradition locale, on aimait dire que Fontenoy était le théâtre de rencontres, de joutes entre les seigneurs locaux mais aucun écrit ne vient étayer cette affirmation improbable. En revanche, on est sûr que joute et jote ou jotte sont des mots du patois lorrain en lien direct avec le chou à cuisiner. Dans le patois de la Moselle romande, choucroute se disait fière-joute[16]. Dans les Vosges, chou se disait jote à Saint-Amé, jotte à Padoux, au Tholy et à Vagney. À Gérardmer, la jote était un chou cabus[17]. Cette seconde partie du toponyme est très probablement d'origine patoise et serait liée à la production ou à la conservation de choux à cuisiner.

Histoire

Fontenoy est un village de défrichement, né dans le Haut Moyen Âge, vers le IXe siècle[réf. souhaitée]. La présence au sommet de la côte Saint-Pierre d'une église, dite de Fonteneis, est attestée dès 1120 dans une charte de l'abbaye Saint-Pierre de Senones dont elle dépendait.

En 1139, le pape Innocent II met Fontenoy dans le dénombrement des biens du prieuré de Moniet, dépendant de l'abbaye de Senones[18]. En 1190, le comte de Salm fait un échange avec les mêmes religieux dans lequel il cède un pré sur le ban de fontenoy[18]. Il existe de nombreux documents aux archives départementales mentionnant des seigneurs de Fontenoy à titre de témoins dans des titres relatifs à des fondations ou à des dotations en faveur de monastères et ce, dès le Xe siècle[18]. Cependant, il a existé de nombreux lieux portant le même nom ; on ne sait pas précisément quels actes sont réellement attachés à Fontenoy-La-Joûte.

Afin de régler un différend entre le duc Mathieu et le comte Thibault de bar en 1445, les partis s'accordent sur la cession au duc des fiefs de Neuviller et de Fontenoy[18].

Par lettres datées de1280, Poinsignon d'Épinal, écuyer, reconnaît devoir à Domengin dit Chabrun prévôt de Deneuvre, 10 livres touloises pour lequelles il engage tout ce qu'il possède à Fontenoy[19].

Toujours en 1280, Domengin fait don à Henri de Blâmont de tout ce qu'il possède à Fontenoy[19].

En 1281, une partie de la seigneurie de Fontenoy est vendue à Henri de Blâmont par Simonin d'Épinal[18].

En 1282, Leucairs dite Comtesse, voueresse de Nossoncourt engage au même Domengin tout ce qu'elle possède à Fontenoy pour 20 livres touloises[19].

En 1286, Henri De Blâmont achète à Bertrand d'Ancerville ce que celui-ci a en profit et usage en la ville et au ban de Fontenoy[19].

En 1295, Henri de Blâmont et l'abbaye de Senones firent au sujet de leurs droits réciproques à Fontenoy , un accompagnement par lequel ils règlent ce dont chacun y jouira à l'avenir. Entre autres choses, le patronage de la cure est réservé tout entier à l'abbé. Désormais, les deux seigneurs nomment conjointement le maire, le doyen, les échevins, le bangard et les forestiers[19].

En 1302 Arnoul,chevalier, voué d'Épinal reconnaît être devenu homme-lige d'Henri, seigneur de Blâmont et reprend de lui tout ce qu'il possède à Fontenoy[19].

En 1370, Mathieu, prieur de Marigny-sous-Deneuvre donne à Thibault de Blâmont la faculté de tailler si haut et si bas qu'il voudra les habitants de Fontenoy moyennant un rente annuelle et à vie de 15 petits florins[18].

En 1371, le prieur du Monier sous Deneuvre engage à Thibaut seigneur de Blâmont tout ce qu'il possède à Fontenoy moyennant la somme de 200 petits florins[19].

Un traité relatif à l'entrecours des sujets de la seigneurie eu lieu en 1436 entre Conrad, évêque de Metz et Marguerite, dame de Blâmont[18].

Les recensements anciens donnent 36 habitants en 1710, 508 habitants en 1802, 560 en 1822, 678 habitants en 1842[18].

En 1290, on parle de l'étang de Funtenoy. En 1601, ce sera Fointenoy.

De 1505 à 1636, Fontenoy fait partie de la prévôté de Deneuvre.Au XVIIe siècle, le village souffre beaucoup de la guerre, le maire ainsi que de nombreux habitants sont tués ; à la suite de cette dépopulation, Fontenoy est rattachée à Domptail (désormais dans les Vosges). Le village est alors appelé en patois : “Fontenoy la Jotte”. Ce surnom lui restera, même si en 1646, le village devient officiellement Fontenoy lès Deneuvre.

Le 22 février 1720, le duc Léopold fait don des hautes, moyennes et basses justices de Glonville et de Fontenoy, avec tous les droits utiles et honorifiques en dépendant, à Nicolas de Franc, compte d'Anglure, et à Thérèse des Armoises, son épouse[19].

En septembre 1914, l'abbé Gérard curé de Fontenoy est capturé par l'armée allemande à titre de représailles et emmené en Allemagne. Il est interné dans différents camps et ne rentre en France que le 20 juillet 1918[20].

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
vers 1887   Claude François Nicolas Thiébaut    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 juin 1995 Gabriel Neige    
juin 1995 mars 2001 Jean-Marie Vanot    
mars 2001 2014 Pierre Barbier    
avril 2014 En cours
(au 23 mai 2020)
Florence Dupays[21],[22]
Réélue pour le mandat 2020-2026
  Employée administrative d'entreprise

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2022, la commune comptait 311 habitants[Note 4], en évolution de +1,3 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
452508529556568625678728723
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
634653660673612585558555542
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
503478442422393362334370344
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
340292275278281297303289300
2020 2022 - - - - - - -
306311-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

Fontenoy-la-Joûte est un village du livre depuis 1996, il comporte une vingtaine de bouquineries[27]. C'est le père Serge Bonnet qui est à l'origine de la manifestation dans cette commune[28].

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église Saint-Pierre
L'église Saint-Pierre actuelle, édifiée entre 1864 et 1869, succède à deux édifices, reconstruits au même emplacement. Due à un architecte aussi prolifique que méconnu, sa construction s'inscrit dans le vaste mouvement de reconstruction d'églises rurales qui touche la Lorraine dans la seconde moitié du XIXe siècle.
Chapelle Saint-Pierre
Au sommet de la côte Saint-Pierre (la première cuesta du Bassin parisien), dominant les Vosges, se trouve la chapelle Saint-Pierre, attestée dès 1120. Cette chapelle serait le chœur de l'ancienne église reconstruite au XIIIe siècle : le linteau trilobé au-dessus de la porte d'entrée, avec sa croix pattée gravée et la petite fenêtre, datent de cette époque. La chapelle est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [29].

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

Blason
D’azur à la clef d’or et à l'épée d’argent passées en sautoir, au chef cousu de gueules chargé d’un livre ouvert aussi d’argent.
Détails
Fontenoy dépendait de l’abbaye Saint-Pierre de Senones, qui porte une clef et une épée en sautoir ; le chef chargé d’un livre ouvert indique que Fontenoy est un village du livre[30].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Fontenoy-la-Joûte s'est également doté d'un drapeau. Celui-ci est carré, jaune avec un pairle renversé rouge chargé de trois fontaines blanches. Ces armes sont parlantes (fontaines pour Fontenoy) et le pairle renversé représente le plan du village avec la rue Saint-Pierre au nord, les rues du Paquis et du Tremblot à l'ouest et la rue Leclerc à l'est. Le jaune et le rouge sont les couleurs de la Lorraine.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de Fontenoy-la-Joûte » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. « Fiche communale de Fontenoy-la-Joûte », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Fontenoy-la-Joûte et Roville-aux-Chênes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Fontenoy-la-Joûte ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Baccarat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Imprimerie impériale, Paris, 1862
  15. Aude Wirth, Les noms de lieux de Meurthe & Moselle: dictionnaire étymologique, Louis, , 313 p. (ISBN 978-2-914554-43-5), p. 148
  16. Léon Zéliqzon, Dictionnaire des patois romans de Moselle, vol. 2, Strasbourg, publication de la faculté des lettres de Strasbourg, , 720 p., p. 272.
  17. Nicolas Haillant, Essai sur un patois Vosgien, Épinal, V. Collot, , p. 344.
  18. Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 193-194
  19. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 364
  20. René (1876-1955) Auteur du texte Hogard, Le clergé du diocèse de Nancy pendant la guerre 1914-1918 : Livre d'or / l'abbé R. Hogard,..., (lire en ligne), p. 192
  21. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  27. Site municipal
  28. Didier Vincenot, « Disparition du père Serge Bonnet », France 3 Lorraine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Chapelle Saint-Pierre », notice no PA00106032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Union des cercles généalogiques lorrains
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