Avenue Pierre-Grenier
| Avenue Pierre-Grenier | |||
|   L'avenue en février 2021.  | |||
| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Coordonnées | 48° 49′ 50″ nord, 2° 15′ 07″ est | ||
| Pays | France | ||
| Région | Île-de-France | ||
| Département | Hauts-de-Seine | ||
| Ville | Boulogne-Billancourt | ||
| Début | Avenue Georges-Lafont | ||
| Fin | Place du Pont-de-Billancourt | ||
| Morphologie | |||
| Type | Avenue | ||
| Histoire | |||
| Anciens noms | Avenue des Moulineaux | ||
|   Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine 
Géolocalisation sur la carte : Paris 
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L'avenue Pierre-Grenier est une voie de communication située à Boulogne-Billancourt dans le département des Hauts-de-Seine, en France[1].
Situation et accès
Cette ancienne voie de communication relie Paris à la Seine.
Elle se termine à la place du Pont-de-Billancourt. Sur cette place, extrémité nord des ponts de Billancourt, et où convergent le quai du Point-du-Jour, le quai de Stalingrad, la rue Yves-Kermen (anciennement rue de Saint-Cloud) et le boulevard Jean-Jaurès, se trouvait l'octroi de Boulogne[2].
Origine du nom
Depuis le , cette avenue porte le nom de Pierre Grenier, résistant.
Historique
Cette voie de communication faisait partie, jusque dans les années 1930, de la « route départementale no 1 du pont de Billancourt au Point-du-Jour », et s'appelait « avenue des Moulineaux », jusqu'à la porte de Saint-Cloud[3].
Le , elle est victime de raids d'avions durant les bombardements de Paris et de sa banlieue durant la Première Guerre mondiale.
La partie nord, qui s'appelle maintenant avenue Georges-Lafont fut créée en tant que rue en 1932 et annexée à Paris par décret du sous le nom d'« avenue des Moulineaux », et prit sa dénomination actuelle par un arrêté du .
L'« avenue Pierre-Grenier » est une des cent-cinquante-neuf voies de circulation limitrophes de Paris, représentées en 1971 sur la série photographique 6 mètres avant Paris[4].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- Jardin de la Porte-de-Saint-Cloud et square Roger-Coquoin, créés en 1930.
 - Cimetière Pierre-Grenier, au croisement de la rue du Point-du-Jour.
 - Le , Jacques Mesrine est interpellé dans cette rue où il demeurait, au no 1[5].
 - Au numéro 32, une centrale électrique bâtie au début du 20e siècle, et recensé dans l'inventaire général du patrimoine culturel sous l'identifiant IA00119978[6].
 - Résidence Salmson Le Point du Jour, construite en 1963 par l'architecte Fernand Pouillon[7],[8].
 
Notes et références
- ↑ Aménagement de l'avenue Pierre Grenier à Boulogne-Billancourt
 - ↑ Planimètre de Boulogne-Billancourt. Société générale des plans indicateurs. 1930
 - ↑ Le rond-point avenue des Moulineaux et quai du Point-du-Jour
 - ↑ " 6 mètres avant Paris " Av. Pierre-Grenier - Boulogne-Billancourt, av. Georges-Lafont 16ème arrondissement, Paris
 - ↑ L'Instinct de mort, 1977, page 135
 - ↑ Centrale électrique
 - ↑ Résidence Le Point du Jour - 1, avenue Pierre Grenier
 - ↑ 1 Avenue Pierre Grenier
 
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