seillon

(Siècle à préciser) De seille avec le suffixe -on.

seillon \sɛ.jɔ̃\ masculin

1. (Vieilli) Seau de bois à une anse pour la traite des vaches.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
2. (Histoire) Ancienne mesure d’arpentage.
   • En Bretagne on les mesure par journal, lequel est en cette Province de 22 seillons un tiers. Le seillon de 6 raies. — (L’Agronome ou Dictionnaire portatif du cultivateur, Rouen, 1787)

seillon \sɛ.jɔ̃\ masculin

1. (Lorraine) Faucille.
   • Pour désigner les travaux des champs et les instruments agricoles, il employait des termes patois qu’on ne comprenait plus, et dont se moquaient les jeunes gens. Il disait un « seillon » pour une faucille et parlait avec admiration, comme s’il l’eût regretté, du temps où on se levait à deux heures du matin, en hiver, pour battre l’avoine au fléau, car on ne connaissait pas les mécaniques. — (Émile Moselly, Terres lorraines, 1907)

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(Nom 1) (Date à préciser) Dérivé de seille, avec le suffixe -on.

(Nom 2) (Date à préciser) Dérivé de sillier, avec le suffixe -on.

seillon *\Prononciation ?\ masculin

1. Seillon, petit seau.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

seillon *\Prononciation ?\ masculin

1. Mesure de terre équivalent à vingt perches, cinquième de l’arpent.
   • Que trop me fetes demorer à arer un seillon de terre. — (Roman de Renart, 15377)

     La traduction en français de l’exemple manque. (Ajouter)

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage