ridiculité
Français
Étymologie
Nom commun
| Singulier | Pluriel | 
|---|---|
| ridiculité | ridiculités | 
| \ʁi.di.ky.li.te\ | |
ridiculité \ʁi.di.ky.li.te\ féminin (Archaïsme)[1]
- (1664) Action ou parole ridicule.
- Quelle ridiculité de dire que nous devons tout faire pour la plus grande gloire de Dieu ? — (Jean-Baptiste Boyer d'Argens, Thérèse Philosophe, Nouvelle Edition, Londres 1796, tome 1, page 124)
- Du Bruel est petit-fils d’un traitant anobli sur la fin du règne de Louis XIV, ses armes ont été composées par Chérin et la couronne Comtale ne messied pas à ce blason, qui n’offre aucune des ridiculités impériales. — (Honoré de Balzac, Un prince de la Bohème, 1840)
- Non, monsieur, de l’entêtement ! dit la baronne en l’interrompant pour en finir avec cette ridiculité. — (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
- Enfin il me dit cent ridiculités que je ne prendrais pas la peine de coucher par écrit. — (Abel Hermant, La biche relancée, chapitre X)
 
- (1675) Caractère de ce qui est ridicule.
Synonymes
Fait d'être ridicule :
Traductions
- Croate : ironiziranje (hr)
- Allemand : Lächerlichkeit (de)
- Anglais : ridiculousness (en), ridiculosity (en)
- Croate : apsurdnost (hr)
Références
- ↑ Robert historique de la langue française, 1998