preneresse

(1391) Dérivé de prenant, avec le suffixe -eresse.

preneresse \pʁən(ə).ʁɛs\ féminin (pour un homme, on dit : preneur)

1. (Droit) (Vieilli) Celle qui prend une maison à loyer ou une terre à ferme, à bail.
   • Qui furent faites & passées audit Noyon, double & pareilles ces présentes servant pour ladite preneresse, ce 15 jour de Décembre 1542. — (Jacques Le Vasseur, Annales de l’église cathédrale de Noyon, Paris 1634)
   • Est compris au présent bail une planche de vigne contenante un demi quartier ou environ à la charge pour la dite preneresse de la faire de toutes ses façons ordinaires en temps et saison convenable et sans la tirer à long bois, les raisins de laquelle appartiendront pour le tout à la dite preneresse. — (Bail signé à Brétigné en 1801, consulté sur internet le 29/12/17)

• La prononciation \pʁən.ʁɛs\ rime avec les mots qui finissent en \ɛs\.
• France (Vosges) : écouter « preneresse [pʁən.ʁɛs] »
• Somain (France) : écouter « preneresse [Prononciation ?] »

• Inspiré du Dictionnaire encyclopédique Quillet, Paris, 1934.

(1391) Dérivé de prenant, avec le suffixe -eresse.

preneresse *\prə.nə.rɛs(ə)\ féminin (pour un homme, on dit : preneur)

1. (Droit) Celle qui prend à bail.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• « preneresse », dans Dictionnaire du moyen français (1330-1500), 2010, 4^e édition → consulter cet ouvrage