philadelphe

Du grec ancien φιλάδελφος, philádelphos (« philadelphe »).

philadelphe \fi.la.dɛlf\

1. (Hapax) (Ironique) Étroit. (qui oblige les personnes à s’embrasser « comme des frères »)
   • J’allai à la pointe, appelée le Terrain, en passant par la barbare et antique Cité, qui est plutôt un inextricable labyrinthe qu’une ville. Figurez vous des rues philadelphes, où 2 personnes qui se rencontrent ne peuvent passer qu’en s’embrassant, tortueuses, malpropres; des maisons en pierre de taille, élevées de 4 étages. — (Nicolas Edme Restif de La Bretonne, Les nuits de Paris, Édition de Jean Varlot et Michel Delon, Gallimard Folio, 1986, page 218, isbn:782070377398)

philadelphe \fi.la.dɛlf\ masculin et féminin identiques

1. Personne qui aime ses frères ou ses sœurs.

• La prononciation \fi.la.dɛlf\ rime avec les mots qui finissent en \ɛlf\.
• France (Paris) : écouter « philadelphe [fi.la.dɛlf] »

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