pennek

(1499) Du moyen breton pennec^[1], dérivé de penn (« tête »), avec le suffixe -ek.

À comparer avec les adjectifs pennog en gallois, pennek en cornique.

pennek \ˈpɛnːɛk\

1. Qui a une grosse tête.
2. (Sens figuré) Têtu, entêté.
   • Bezañ pennek, avat, a zo lod ar re yacʼh e pep doare koulz hag hini an diskianted, [...]. — (Abeozen, Pircʼhirin kala-goañv, Al Liamm, 1986, page 12)

     Être têtu, cependant, est le lot des gens sains en tout point ainsi que celui des insensés.

   • Re bennek e vezont ha, souezhus ha ma ’z eo, re galonek. — (Aberhel, Alan MOOREHEAD - " Cooper's Creek ", in Al Liamm, n^o 128, mai-juin 1968, page 213)

     Ils sont trop tétus et, aussi surprenant que cela est, trop courageux.

   • N’eus ket pennekocʼh eget un den hedro. — (Youenn Drezen, Skol-louarn Veig Trebern I, Éditions Al Liamm, 1972, page 122)

     Il n’y a pas plus entêté que quelqu’un d’inconstant.

3. Soigneux.

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pennek \penːek\

1. Chat.