molestable

Français

Étymologie

(1845)[1] Dérivé de molester, avec le suffixe -able.

Adjectif

SingulierPluriel
Masculin
et féminin
molestable molestables
\mɔ.lɛs.tabl\

molestable \mɔ.lɛs.tabl\

  1. Que l’on peut molester.
    • Nous avons déjà eu plus d’une fois l’occasion de signaler le sans-façon des procédés de M. Haussmann.
      Il semble que pour le préfet de la Seine, les Parisiens ne soient que gent taillable et
      molestable à merci.
       (Le National de 1869, no 131, Paris, 30 mai 1869, page 2)
    • Le civil, le pékin, comme ils disent, est à leurs yeux chose assommable. fusillable, bâtonnable, insultable et molestable à volonté.  (Adolphe Ponet, Galonnés montélimerdeux, dans La Comédie politique, 17e année, no 516, Lyon, 15 octobre 1899, page 2)
    • Des réformes dans ce ministère-là, ce n’est pas nous qui nous en plaindrons et il nous est avis que le public considéré vraisemblablement par l’administration des postes, télégraphes et téléphones comme une matière taillable et molestable à merci, s’en plaindra encore moins.  (La Civilisation, journal politique, 3 décembre 1899, page 1)

Traductions

Prononciation

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Anagrammes

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Références

  1. Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 430.