irrésumable

Français

Étymologie

(1816)[1] Dérivé de résumer, avec le préfixe ir- et le suffixe -able.

Adjectif

SingulierPluriel
Masculin
et féminin
irrésumable irrésumables
\i.ʁe.zy.mabl\

irrésumable \i.ʁe.zy.mabl\

  1. Qu’on ne peut pas résumer.
    • Il y a dans cette scène mouvante quelque chose de curieux assurément, et pourtant d’irrésumable par l’historien.  (T. Foisset, Fragment de l’histoire du président de Brosses, dans Les deux Bourgognes, études provinciales, Dijon, 1838, page 219)
    • C’est un conte qui peut, comme tous les grands contes, être résumé en deux lignes et qui, en même temps, est absolument irrésumable.  (Claude Roy, Ce que voit l’homme de vigie, dans Libération, 7e année, 26 septembre 1951, page 2)
    • A vrai dire, Cyrano de Bergerac est irrésumable : il faut le voir, l’écouter surtout ; ces vers-là s’enchainent comme rarement on l’a fait en littérature.  (Charles Chatelin, Cyrano de Bergerac : Du panache et du cœur, culture-tops.fr, 16 septembre 2018)

Traductions

Prononciation

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Anagrammes

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Références

  1. « l’irrésumable autorité de cette sainte église catholique » : L’Ambigu, ou Variétés littéraires et politiques, no 460, Londres, 10 janvier 1816, page 18.