hercule

Antonomase de Hercule.

hercule \ɛʁ.kyl\ masculin

1. Homme d’une force physique extraordinaire.
   • Ce M. Gauthier était un gros jeune homme taillé en hercule. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
   • Êtes-vous un hercule, lecteur ?… Peut-être. Tous mes compliments. Mais votre femme n'est pas une athlète, votre fils, votre frère, vos amis n’ont pas votre force. — (Georges Dubois, Comment se défendre, Éditions Nilsson, Paris, début xx^e siècle, page 151 → lire en ligne)
   • Tous s’empressèrent de déguerpir, à l’exception du gardien en chef, Jean Sabarat, sorte d’hercule aux proportions athlétiques, qui respirait à la fois la force, le calme et la bravoure. — (Arthur Bernède, Belphégor, page 1927)
   • Les hercules que des gringalets insultaient impunément n'hésitent plus à leur fracasser la mâchoire. — (Jean Giraudoux, Intermezzo, 1933, acte I, scène 4)

• France (Vosges) : écouter « hercule [Prononciation ?] »

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• hercule sur l’encyclopédie Wikipédia

• « hercule », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
• Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (hercule)
• « hercule », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage

hercule

1. Variante de hercle.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• \ˈher.ku.le\, [ˈhɛrkʊɫ̪ɛ] (Classique)
• \ˈer.ku.le\, [ˈɛrkule] (Ecclésiastique)

• « hercule », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage