gynandrophore
Français
Étymologie
- (1843) Du grec ancien γυνή, gunế (« femme »), du grec ancien ἀνήρ, ἀνδρός, aner, andros (« homme ») et de -phore. C'est à dire qui porte à la fois les organes femelles — les pistils — et les organes mâles — les étamines —.
Nom commun
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| gynandrophore | gynandrophores |
| \ʒi.nɑ̃.dʁɔ.fɔʁ\ | |
gynandrophore \ʒi.nɑ̃.dʁɔ.fɔʁ\ masculin
- (Botanique) Axe de la fleur qui porte à la fois le pistil et les étamines chez une fleur hermaphrodite.
Il arrive quelquefois que le réceptacle de la fleur ou torus se développe d'une manière extraordinaire, et supporte non-seulement les pistils, mais encore les étamines. M. Richard lui donne le nom de gynandrophore, qui indique qu'il porte les organes femelles et les organes mâles.
— (C. Favrot, Traité Élémentaire d'histoire naturelle pharmaceutique et médicale, éd. Labé, Paris 1843.)