figuerie

Dérivé de figuier avec le suffixe -erie.

figuerie \fi.ɡʁi\ ou \fi.ɡə.ʁi\ féminin

1. (Agronomie, Biogéographie, Ethnobiologie) Lieu destiné à la culture des figuiers.
   • Une figuerie bien exposée.
   • A moins donc que le figuier ne soit planté dans la plaine pour donner des fruits frais et de l’ombre autour des habitations, il semble préférable d’établir les figueries à l’abri du froid, sur les coteaux bien exposés, quoiqu’assez fertiles, où d’ailleurs les figues seront de meilleure qualité, plus précoces, moins succulentes et par conséquent plus faciles à sécher. — (Journal de l’agriculture de la ferme et des maisons de campagnes de la zootechnie, de la viticulture, de l’horticulture, de l’économie rurale et des intérêts de la propriété, tome 2, 1907)
2. Endroit où l’on stocke et sèche les figues.^[1]

• France (Lyon) : écouter « figuerie [Prononciation ?] »
• Aude (France) : écouter « figuerie [Prononciation ?] »
• Vendée (France) : écouter « figuerie [Prononciation ?] »

• Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (figuerie), mais l’article a pu être modifié depuis.
• « figuerie », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage