festoiement

Français

Étymologie

Du moyen français festoiement.

Nom commun

SingulierPluriel
festoiement festoiements
\fɛs.twa.mɑ̃\

festoiement \fɛs.twa.mɑ̃\ masculin

  1. Festivité, festin.
    • Le festoiement à la faveur duquel Vautrin avait fait boire à Eugène et au père Goriot du vin narcotisé décida de la perte de cet homme, Bianchon, à moitié gris, oublia de questionner mademoiselle Michonneau sur Trompe-la-Mort.  (Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835)
    • Jacob, le gras Jacob, s’ébaudissait dans son encoignure; il était depuis le matin d'une jubilation incomparable à l'idée de toutes les miettes qui resteraient d’un pareil festoiement, et, pour s’entretenir la bouche, il dévorait tout un renard, pris dans les trappes de Jensen, et qu’on lui avait donné à écorcher.  (Isaac Israel Hayes, traduction de M. F. de Lanoye, abrégée par J. Belin-de Launay, La mer libre du pole, Hachette et Cie, Paris, 1872, page  lire en ligne)

Traductions

Prononciation

Étymologie

Dérivé de festoier, avec le suffixe -ment.

Nom commun

festoiement \Prononciation ?\ masculin

  1. Festivité.
    • Et du festoiement et reception feurent bien contents le roy, l'empereur et les seigneurs.  (Juvénal des Ursins, Le Règne de Charles VI, 1614)
      La traduction en français de l’exemple manque. (Ajouter)

Dérivés dans d’autres langues

Références