falotier

(Date à préciser) Dérivé de falot, avec le suffixe -ier.

falotier \fa.lɔ.tje\ masculin (pour une femme, on dit : falotière)

1. (Désuet) Celui qui plaçait ou portait les falots.
   • Un autre serviteur, non moins modeste, mais aussi utile de la Confrérie, était le « falotier », chargé de précéder, vêtu d’une soutane, d’un surplis et d’un « camail dans la saison », coiffé d’un bonnet, et porteur d’un falot allumé et d’une clochette, le prêtre qui portait le viatique aux malades. — (Bulletin historique et scientifique de l’Auvergne, Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand, 1909, page 370)
2. (Désuet) Celui qui était chargé d’allumer les réverbères.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• La prononciation \fa.lɔ.tje\ rime avec les mots qui finissent en \je\.

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• Allumeur de réverbères sur l’encyclopédie Wikipédia

• « falotier », dans Antoine de Rivarol, Dictionnaire classique de la langue française, 1827

(Date à préciser) Dérivé de falot, avec le suffixe -ier.

falotier \Prononciation ?\

1. De falot, de torche.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage