dompteuse
Français
Étymologie
- (1880) Dérivé de dompter, avec le suffixe -euse. Le moyen français avait dompteresse.
Nom commun
| Singulier | Pluriel | 
|---|---|
| dompteuse | dompteuses | 
| \dɔ̃.tøz\ ou \dɔ̃p.tøz\ | |
dompteuse \dɔ̃.tøz\ ou \dɔ̃p.tøz\ féminin (pour un homme, on dit : dompteur)
- Celle qui dompte.
- Mémoires d’une dompteuse écrits par elle-même. — (Nouma Hawa, Mémoires d’une dompteuse écrits par elle-même : l’art de dompter les animaux féroces et de charmer les serpents, Paris, 1880)
 
- (Métier) (Cirque) Celle qui fait profession de dompter les bêtes dites « féroces », ou n’importe quel animal non domestique.
- Et de son regard, à elle, peu à peu, jaillit une flamme qui s’aiguisa, et elle fut alors semblable à quelque intrépide dompteuse en face du fauve. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
 
Vocabulaire apparenté par le sens
- dompteuse figure dans le recueil de vocabulaire en français ayant pour thème : cirque (spectacle).
Traductions
Prononciation
- La prononciation \dɔ̃.tøz\ rime avec les mots qui finissent en \øz\.
- \dɔ̃.tœʁ\ ou \dɔ̃p.tœʁ\
- Alsace (France) : écouter « dompteuse [dɔ̃.tøz] »
- Lyon (France) : écouter « dompteuse [dɔ̃p.tøz] »
- Cesseras (France) : écouter « dompteuse [dɔ̃p.tøz] »
Néerlandais
Étymologie
- (Date à préciser) Du français dompteuse.
Nom commun
| Nombre | Singulier | Pluriel | 
|---|---|---|
| Nom | dompteuse | dompteuses | 
| Diminutif | dompteusetje | dompteusetjes | 
dompteuse \Prononciation ?\ féminin (pour un homme, on dit : dompteur)
Taux de reconnaissance
- En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
- 48,0 % des Flamands,
- 80,8 % des Néerlandais.
 
Prononciation
- Pays-Bas : écouter « dompteuse [Prononciation ?] »
Références
- ↑ Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal [≈ Reconnaissance du vocabulaire des Néerlandais et des Flamands 2013 : résultats de la grande enquête nationale sur les langues], Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 pages. → [archive du fichier pdf en ligne]