cureur

Dérivé de curer, avec le suffixe -eur.

cureur \ky.ʁœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : cureuse)

1. Celui qui fait un curage.
   • Cureur de puits.
   • Cureur d’égouts.
   • Un certain nombre de cureurs de toiles, c’est-à-dire d’ouvriers se consacrant au lavage et à l’apprêt des toiles, se laissent découvrir sur les rives de la Vesle, en particulier à Saint-Rémi. — (Pierre Desportes, Reims et les Rémois: aux XIII^e et XIV^e siècles, Volume 3, 1979)
   • Parfois le boiseur exerce aussi le métier de cureur. — (Jeanne Pomerleau, Métiers ambulants d’autrefois, Éditions Guérin, 1990, page 340)
   • La faillite des pouvoirs publics en matière d’assainissement a fait naître plus d’un métier: cureurs de caniveaux, ramasseurs d’ordures, collecteurs de cartons usagés, récupérateurs de vieux pneus… ont fait leur source de revenus des déchets qui, revendus, leur rapportent un peu de sous. — (Jeune Afrique, Numéros 2517 à 2529, 2009)

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• Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (cureur), mais l’article a pu être modifié depuis.
• « cureur », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage