c’t

Réécritude de cet pour représenter l’élision du e caduc.

Réécritude de c’est pour représenter l’élision du E.

c’t \s‿t\ masculin syncope contraction

1. (Familier) Cet, cette.
   • Voyez comme il est joli, c’t amour avec sa grande collerette ! Ça ne vaut-i pas mieux que c’t autre avec sa moustache blanche ? — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, Michel Lévy frères, 1863)
   • I’ n’ me croyait pas, c’t’ enfant, i’ r’tournait sous le lit qu’était sa place préférée. — (Léon Frapié, Les deux mères, dans Les contes de la maternelle, éditions Self, 1945, page 19)
   • — Il a dit, l’capitaine, que j’passerais à la tondeuse c’t’ aprèm’… — (Yves Gibeau, Allons z’enfants, 1952)

c’t \s‿t\ syncope contraction

1. (Familier) C’est.
   • Jérôme c’é’t jama’s bon d’awoir une crotte su’ l’cœur. Ça gruge la pa’x d’esprit. Tu woés, t’ava’s pas raison d’en vouloir à MacPherson. Les erreurs c’t humain. Toute le monde en fa’t! Et j’dirai rien à ta belle Désirée. La tombe!!! — (Madeleine Champagne, Faites pas de bruit, ’y a un mort, FreisenPress, 2023, page 57 → lire en ligne)

• \s‿t\

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