brimbalement

Français

Étymologie

Dérivé de brimbaler, avec le suffixe -ment.

Attestations historiques

  • (XVIe siècle) Je ne pouvois dormir à cause du sempiternel brimballement des cloches.  (Rabelais, Pantagruel V, 7)

Nom commun

SingulierPluriel
brimbalement brimbalements
\bʁɛ̃.bal.mɑ̃\

brimbalement \bʁɛ̃.bal.mɑ̃\ masculin

  1. Action de brimbaler.
    • Secoué, Simon ne tentait rien pour s’ôter de l’étreinte de son père, et il subissait le brimbalement avec un stoïcisme admirable.  (Yves Gibeau, Allons z’enfants, 1952)
    • Elle fume, les yeux clos, bercée par le brimbalement du train.  (Régine Deforges, Rencontres ferroviaires, nouvelle, 1999, page 10)
    • Et même que c’est l'arrêt de celui-ci devant le porche de son écurie qui met fin au brimbalement du transport qui réveille le brave dormeur !  (Bernard Viaud, Sidoine : une fugue Aux Sables d’Olonne, 2012)

Traductions

Prononciation

Références

  • Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (brimbalement)