baillie

De l’ancien français baillie (« gouvernement »), voir bailli.

baillie \ba.ji\ féminin

1. (Désuet) Puissance, autorité, tutelle.
   • Lorsque le tuteur ou celui qui avait la baillie voulait courir les risques de cette procédure. — (Montesquieu)
   • Frédéric avait oublié le nom du Responsable sous la baillie duquel il devait travailler et ne l’avait retrouvé qu’en se prêtant au jeu des associations. — (Richard Jorif, Le Burelain, éditions François Bourin, 1989, page 18)

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• « baillie », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
• « baillie », dans [Jésuites de] Trévoux, Dictionnaire universel françois et latin, 1704–1771 → consulter cet ouvrage

Déverbal de baillir (« commander »).

baillie *\Prononciation ?\ féminin

1. Pouvoir, puissance.
   • Quant jeunesse tient gens en seigneurie,
     Les jeux d'amours sont grandement prisez
     Mais fortune, qui m'a en sa baillie,
     Les a du tout de mon cueur deboutez. — (Charles d’Orléans)

     La traduction en français de l’exemple manque. (Ajouter)

   • angres et archangres avez en vo baillie — (Une loenge de Nostre Dame, ms. 12467 de la BnF, v. 19)

     La traduction en français de l’exemple manque. (Ajouter)

2. Juridiction.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
3. Force, vigueur.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage

Voir bailiff.

baillie \ˈbeɪli\

1. (Écosse) (Administration territoriale) Adjoint au maire.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• alderman