antilogue

(1863) Du grec ancien ἀντίλογος (« contradictoire, contraire »), attesté chez Euripide (Hélène, 1142, dans Bailly). Décrit en 1863 par Littré^[1] et 1892 par Guérin^[2].

antilogue \ɑ̃.ti.lɔɡ\ masculin et féminin identiques

1. (Électricité, Minéralogie) En parlant de la polarité d’un corps pyroélectrique comme la tourmaline : qui devient négatif quand la température s’élève et positif quand elle descend.
   • Cependant, quelques faisceaux de cristaux sont suffisamment dégagés des autres à leur extrémité inférieure pour que le pointement antilogue soit nettement visible aussi. — (Bulletin du Service de la carte géologique d’Alsace et de Lorraine, volumes 3 à 6, Université de Strasbourg, 1936)

• La prononciation \ɑ̃.ti.lɔɡ\ rime avec les mots qui finissent en \ɔɡ\.
• \ɑ̃.ti.lɔɡ\
• France (Toulouse) : écouter « antilogue [Prononciation ?] »
• Vosges (France) : écouter « antilogue [Prononciation ?] »

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• « antilogue », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage