aboîment
Français
Étymologie
Nom commun
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| aboîment | aboîments |
| \a.bwa.mɑ̃\ | |
aboîment \a.bwa.mɑ̃\ masculin
- (Vieilli) Variante orthographique de aboiement.
À St.-Malo, on faisait faire patrouille aux chiens autour de la ville, mais l’histoire ne dit pas qu’on les mit en sentinelle. Son aboîment fidèle , voilà une épithète heureusement choisie. Le P. Daire l’a oubliée dans son Dictionnaire.
— (Mercure de France et chronique de Paris, Volume 1, 1819, page 554)— Hommes du Chêne, dit Uheldéda, la veille
— (Leconte de Lisle, Poèmes barbares dans la bibliothèque Wikisource , « Le Massacre de Mona », Librairie Alphonse Lemerre, 1900 (1re éd. 1862), page 132)
Des neuf nuits, un cri sourd a souillé notre oreille ;
Mais ce n’est point un loup qui hurle, ce n’est rien,
Par les Dieux, fils de Math ! que l’aboîment d’un chien.
Note : Cette graphie n’est plus couramment utilisée dans la langue française actuelle.
Anagrammes
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Références
- « aboiement », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
- « aboiement », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage