aboîment

Français

Étymologie

(Siècle à préciser) Dérivé de aboyer, avec le suffixe -ment.

Nom commun

SingulierPluriel
aboîment aboîments
\a.bwa.mɑ̃\

aboîment \a.bwa.mɑ̃\ masculin

  1. (Vieilli) Variante orthographique de aboiement.
    • À St.-Malo, on faisait faire patrouille aux chiens autour de la ville, mais l’histoire ne dit pas qu’on les mit en sentinelle. Son aboîment fidèle , voilà une épithète heureusement choisie. Le P. Daire l’a oubliée dans son Dictionnaire.  (Mercure de France et chronique de Paris, Volume 1, 1819, page 554)
    • — Hommes du Chêne, dit Uheldéda, la veille
      Des neuf nuits, un cri sourd a souillé notre oreille ;
      Mais ce n’est point un loup qui hurle, ce n’est rien,
      Par les Dieux, fils de Math ! que l’aboîment d’un chien.
       (Leconte de Lisle, Poèmes barbares dans la bibliothèque Wikisource , « Le Massacre de Mona », Librairie Alphonse Lemerre, 1900 (1re éd. 1862), page 132)

Note : Cette graphie n’est plus couramment utilisée dans la langue française actuelle.

Anagrammes

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Références