Stura

Voir aussi : stura

Français

De l’italien Stura.

Stura \Prononciation ?\ féminin singulier

(Cours d’eau) Affluent du Pô.
- La Stura di Lanzo est une rivière du Piémont, affluent de gauche du Pô. — (Stura di Lanzo sur l’encyclopédie Wikipédia )
(Cours d’eau) Affluent du Tanaro.
- La Stura di Demonte est une rivière de la province de Coni. — (Stura di Demonte sur l’encyclopédie Wikipédia )
(Histoire) Ancien département français d’Italie ayant existé de 1802 à 1814 et dont le chef-lieu était Coni.

→ Modifier la liste d’anagrammes

Du latin Stura.

Stura \ˈstu.ra\ féminin singulier

→ Modifier la liste d’anagrammes

Probablement apparenté à Strymo (« fleuve de la Thrace »), à stream (« courant, torrent ») en anglais ; voir ῥέω, rhéô (« couler »).

Stura \Prononciation ?\ féminin singulier

(Cours d’eau) Stura.
- CCC p. a fonte addens meatu duo de LXXXX nec amnes tantum Appenninos Alpinosque navigabiles capiens, sed lacus quoque inmensos in eum sese exonerantes, omni numero XXX flumina in mare Hadriaticum defert, celeberrima ex iis Appennini latere Iactum, Tanarum, Trebiam Placentinum, Tarum, Inciam, Gabellum, Scultennam, Rhenum, Alpium vero Sturam, Orgum, Durias duas, Sesitem, Ticinum, Lambrum, Adduam, Ollium, Mincium. — (Pline, Naturalis Historia, III, 118)
  Il a 388.000 pas de sa source à son embouchure, y compris 88.000 pour les sinuosités. Non seulement il reçoit des rivières navigables descendant des Apennins et des Alpes, mais encore il sert d'écoulement à des lacs immenses. Le nombre des rivières qu'il mène à la mer Adriatique est de trente en tout ; les plus célèbres sont, venant des Apennins, le Tanare, la Trébie, qui traverse le Placentin, le Tarus, l'Incia, le Gabellus, la Scultenna, le Rhénus; venant des Alpes, la Stura, l'Orgo, les deux Duria, le Sessitès, le Tésin, le Lambrus, l'Adda, l'Oglio, le Mincio.

« Stura », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage