Saint-Quentin-le-Petit

Toponyme composé de Saint-Quentin, le et petit.

Saint-Quentin-le-Petit \Prononciation ?\

1. (Géographie) Commune française, située dans le département des Ardennes.
   • Le 24 au soir, Pajol occupait Hannogne et Bannogne, aux environs de Chaumont; Valin avait ses troupes à Sévigny, Montigny et Saint-Quentin-le-Petit; le corps d'Exelmans était à Nizi-le-Comte, le Thour, Lor. — (Pajol général en chef, par le général de division comte Pajol son fils ainé, tome 3 (1812-1844), Paris : chez Firmin-Didot & chez J. Dumaine, 1874, p. 250)
   • Abandonnant la carrière militaire pour satisfaire au désir de sa famille, M. Sandrique alla se fixer à Saint-Quentin-le-Petit (Ardennes), où il s'adonna à la mise en valeur d'une propriété de près de 400 hectares, appliquant des méthodes scientifiques et des procédés de culture intensive rationnelle, dont les résultats ont servi de modèle dans toute la région. — (« Sandrique (Albert) », dans le Dictionnaire national des contemporains, tome 4, rédigé sous la direction de C.E. Curinier, Paris : Office général d'Expédition, 1899, p. 284)
   • Le 5 au matin, nos patrouilles d'infanterie annoncent la retraite de l'ennemi ; la poursuite commence aussitôt. […]. Le 3^e groupe, qui a mis en batterie dans un terrain détrempé, au nord de Saint-Quentin-le-Petit, est obligé d'atteler ses canons avec 10 chevaux pour les enlever ; une quarantaine de paires de traits sont cassés. — (Petit historique du 221^e régiment d'artillerie de campagne (1914-1918), Paris : chez Henri Charles-Lavauzelle, 1920, p. 43)
   • La vallée du sabbat : Le sabbat des sorciers ardennais se tenait dans la vallée de Nizy, entre Banogne et Saint-Quentin-le-Petit. À certaines époques de l'année, on entendait des voix : « Ceux de Renwez, ceux de Juniville, ceux de Bourg-Fidèle sont-ils arrivés — Oui — Et bien que la Danse commence. » — (Éloïse Mozzani, Légendes et mystères des régions de France, chez Robert Laffont, 2015)
2. (Géographie) Ancienne commune française, située dans le département de l'Orne, qui fut absorbée, en 1836, par la commune de Nocé (aujourd'hui, Perche en Nocé).

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