Villers-Bocage (Calvados)

Villers-Bocage

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Vire
Intercommunalité CC Pré-Bocage Intercom
Maire
Mandat
Stéphanie Leberrurier
2020-2026
Code postal 14310
Code commune 14752
Démographie
Gentilé Villersois
Population
municipale
3 113 hab. (2022 )
Densité 540 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 44″ nord, 0° 39′ 23″ ouest
Altitude Min. 95 m
Max. 217 m
Superficie 5,76 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Villers-Bocage
(ville-centre)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Monts d'Aunay
Législatives 4e circonscription du Calvados
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Villers-Bocage
Géolocalisation sur la carte : France
Villers-Bocage
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Villers-Bocage
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Villers-Bocage
Liens
Site web https://www.villersbocage14.fr/

Villers-Bocage est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie.

Géographie

Localisation

La commune est située dans une sorte de seuil du Massif armoricain aux confins du Bocage virois, du Bessin et de la plaine de Caen.

Son bourg est à 8 km au nord de Aunay-sur-Odon, à 12 km à l'est de Caumont-l'Éventé, à 12 km au sud de Tilly-sur-Seulles et à 25 km au sud-ouest de Caen[1].

Le bourg se trouve dans l'aire d'attraction de Caen et dans sa zone d'emploi. Elle est la ville-centre de son unité urbaine et de son bassin de vie[I 1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Épinay-sur-Odon, Maisoncelles-Pelvey, Parfouru-sur-Odon, Tracy-Bocage et Villy-Bocage.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 5,76 km2[3].

Le point culminant (217 m) se situe en limite nord-est, à la sortie de la D 675 du territoire. Le point le plus bas (95 m) correspond à la sortie de la Seulline du territoire, au nord-ouest. Hormis la partie urbaine, la commune est bocagère.

Hydrographie

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Seulline, le fossé 04 de la commune d'Épinay-sur-Odon[4] et un autre petit cours d'eau[5],[Carte 1].

Villers-Bocage est majoritairement dans le bassin versant de la Seulles, par son affluent la Seulline qui prend sa source dans la commune de Seulline et se jette dans la Seulles à Villy-Bocage, après avoir traversé six communes[6] et qui délimite le territoire à l'ouest. Quatre de ses courts affluents parcourent le territoire communal. Une frange sud-est est dans le bassin de l'Orne, donnant ses eaux à des petits affluents de l'Odon.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[8]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d'experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d'ouest, et frais en raison de l'altitude[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 910 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Seulline à 5 km à vol d'oiseau[10], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 992,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme

Typologie

Au , Villers-Bocage est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14].

Elle appartient à l'unité urbaine de Villers-Bocage, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[15],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,8 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34 %), zones urbanisées (24,4 %), terres arables (20,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), forêts (2,9 %)[18].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Villiers en Boscaige en 1365[19].

L'appellatif toponymique Villers est issu du gallo-roman villare, issu lui-même du latin villa rustica, « domaine rural ». Il est ici adjoint du nom du pays, Bocage, à rapprocher de son homonyme picard où le terme désigne plus directement la végétation[19].

Le gentilé est Villersois[20].

Histoire

Moyen Âge

Le , lors de sa chevauchée, le roi d'Angleterre Édouard III prend la ville. En 1366, Jeanne Bacon, veuve de Guillaume Bertrand second fils de Robert VIII Bertrand de Bricquebec, fonde le prieuré hospitalier de Sainte-Élisabeth. En 1417, toujours pendant la guerre de Cent Ans, Henri V d'Angleterre s'empare à nouveau de la ville.

Époque contemporaine

Le , la commune est reliée à la gare de Caen par une ligne de chemin de fer qui va à l'origine jusqu'à Aunay-sur-Odon et qui est ensuite prolongée en 1891 jusqu'à la gare de Vire[21]. Le transport des voyageurs sur la ligne de Caen à Vire est interrompu le [22]. Le transport de marchandises est par la suite limité à Jurques, puis définitivement suspendu. La ligne est alors déclassée et déferrée.

Seconde Guerre mondiale

Le , Michael Wittmann brise l'offensive Perch de la 7e division blindée britannique qui venait de libérer la ville. Relativement épargnée jusqu'alors, la ville est entièrement détruite par les bombardements alliés qui suivent le retrait britannique. Les Allemands ne se retirent définitivement de la ville que le .

La ville est entièrement reconstruite après les bombardements et les combats pour la Libération[23].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouvait depuis 1793 dans l'arrondissement de Caen du département du Calvados[3]. Elle en est détachée pour intégrer en 2017 l'celui de Vire[24],[I 1].

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Villers-Bocage[3]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton des Monts d'Aunay[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Calvados.

Intercommunalité

Villers-Bocage était le siège de la communauté de communes Villers-Bocage Intercom, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes Aunay-Caumont-Intercom pour former, le , la communauté de communes Pré-Bocage Intercom, dont est désormais membre la commune[I 1].

Tendances politiques et résultats

Lors des élections municipales de 2014 dans le Calvados, la liste SE menée par le maire sortant Marc Hébert est la seule candidate et obtient donc la totalité des 805 suffrages exprimés. Elle est donc élue en totalité et 8 de ses membres sont également conseillers départementaux.
Lors de ce scrutin, 43,91 % des électeurs se sont abstenus et 27,80 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul[25]

Lors des élections municipales de 2020 dans le Calvados, la liste menée par Stéphanie Leberrurier est la seule candidate et obtient donc la totalité des 514 suffrages exprimés. Elle est donc élue en totalité et 5 de ses membres sont également conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 68,88 % des électeurs se sont abstenus et 21,04 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul

Administration municipale

Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et ses adjoints[26].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1800 1825 Charles de Tilly[27]    
1810 1830 Stanislas de Grandclos Meslé[28]   Seigneur de Villers-Bocage, armateur-négrier[29], Écuyer
1er baron Meslé de Grandclos (1815 - )
         
    Constantin Pierre Féron   Médecin, propriétaire
Conseiller d'arrondissement de Villers-Bocage (1848 → 1855)
         
avant 1850[30]   Louis Julien Cyprien Saillenfest   Propriétaire, agent d'affaires
Conseiller d'arrondissement de Villers-Bocage (1845 → 1848)
         
    Auguste Féron Droite Propriétaire, régisseur du duc de Vicence
Conseiller d'arrondissement de Villers-Bocage (1858 → 1864)
Conseiller général de Villers-Bocage (1878 → 1895)
1878 ou avant[31]   Charles Désiré Lhomme   Conseiller d'arrondissement de Villers-Bocage (1884 → 1892)
         
1900 1919 Émile Samson[Note 4],[32]   Agriculteur, boucher
Conseiller d'arrondissement de Villers-Bocage (1900 → 1919)
         
mai 1929 mai 1945 Albert Doublet   Minotier et négociant en grains
mai 1945 octobre 1947 André Doublet    
octobre 1947 mars 1965 Jean Levêque RPF puis RS
puis UNR
Notaire, colonel de réserve
Conseiller général de Villers-Bocage (1945 → 1988)
Suppléant du député André Halbout (1962 → 1967)
Vice-président du Conseil général du Calvados[Quand ?]
Chevalier de la Légion d'honneur
mars 1965 octobre 1992 Comte Stanislas de Clermont-Tonnerre DVD Agriculteur
Conseiller général de Villers-Bocage (1988 → 1994)
Châtelain de Villers-Bocage
Démissionnaire
octobre 1992 mars 2014[33] Xavier Lebrun[34],[35] DVD Agent d'assurance
Conseiller général de Villers-Bocage (1994 → 2008)
Vice-président du conseil général (2001 → 2008)
Président de Villers-Bocage Intercom (2003 → 2011)
Vice-président de Pré-Bocage Intercom
mars 2014[36] mai 2020 Marc Hébert SE Retraité de l'enseignement
mai 2020[37] En cours
(au 18 juillet 2025)
Stéphanie Leberrurier SE cogérante d'une PME à Villers-Bocage
Vice-présidente de la CC Pré-Bocage Intercom (2020[38] → )
Conseillère départementale des Monts-d'Aunay (2025[39] → )

Jumelages

Équipements et services publics

Villers-Bocage est le siège de l'office de tourisme du Pré-Bocage.

Espace public

En 2014, la commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[40].

Villers-Bocage fait partie du label Village étape depuis 2003.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].

En 2022, la commune comptait 3 113 habitants[Note 5], en évolution de +0,1 % par rapport à 2016 (Calvados : +1,58 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1211 0101 2231 1771 1781 1781 1461 1341 127
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1051 1561 1551 1471 1391 0841 1471 0571 104
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0471 0731 1411 0391 0601 0931 2027431 431
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 8251 9852 3172 6232 8452 9042 8683 0073 110
2021 2022 - - - - - - -
3 1303 113-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

La population a doublé dans les quarante dernières années du XXe siècle.

Manifestations culturelles et festivités

La commune accueille une soirée du festival des Veillées d'été en août, grandes soirées pique-nique et spectacle organisées par l'association Tourisme en Bocage virois.[réf. nécessaire]

Sports et loisirs

L'Union sportive Villers-Bocage fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en division de district[44].

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Vestiges d'une motte au sud du village, et à l'est du château moderne. Le tertre de forme circulaire est flanqué d'une basse-cour quadrangulaire, qui supportait un château féodal[48],[23].
  • Ancien moulin de Parfouru, sur l'Odon, au lieu-dit Le Moulin, reconstruit après un incendie vers 1897, permettant en 1918 de produire 5 quintaux de farine en 24 heures, et agrandi vers 1931 vraisemblablement pour l'installation d'appareils à cylindres, une turbine remplaçant deux roues hydrauliques et fournissant également l'électricité pour l'éclairage du moulin, Le dernier meunier est M. Gaillard[49].
  • Ancien moulin d'Amayé sur la Seulles, au lieu-dit Le Moulin d'Amayé, attesté au XVIe siècle et reconstruit au début du XXe siècle. En 1936, il est équipé d'une roue hydraulique (8 à 12 chevaux) actionnant un appareil à cylindres, un détacheur et un plansichter (Lafon), et produit alors 340 quintaux de farine. L'activité cesse après la Deuxième Guerre mondiale et le bâtiment est aujourd'hui un logement privé[50].
  • Ancienne Usine de bonneterie Edwige Edward's (Établissements Philips), boulevard Joffre, construite au début des années 1950 par les architectes caennais Delalande et Bataille pour Ferdinand Philips[51].
  • Trois fours au chaux à cuisson continue réalisés en 1887 pour Anatole Madeleine, complété vers 1895 d'un quatrième four uis d'une voie ferrée. L’activité cesse vers 1914 et la voie ferrée est démontée. Les constructions sont en ruines en 1924 et l'ensemble est envahi par la végétation[52].
  • Quatre fours à chaux à cuisson continue et à courtes flammes, lieu-dit Les fours à chaux, construits pour Charles Pagny au début des années 1880 et mis en service fin 1883. Le site est repris en 2001 par le département du Calvados[53]

Patrimoine disparu

Personnalités liées à la commune

* Jeanne Bacon est née du second mariage entre Roger V Bacon et Éléonore de Villiers (ou de Villers-Bocage). Elle eut un demi-frère Robert, mort en bas âge, né du premier mariage de Roger avec Aelis d'Asnières. Son autre frère Guillaume, né du second mariage de Roger, est lui aussi mort en bas âge (la plaque funéraire des deux fils de Roger Bacon est d'ailleurs visible sur l'un des murs extérieurs de l'église du Breuil-en-Bessin). Elle est l'unique héritière du fief de la famille Bacon du Molay. Deux grandes familles se disputent alors la main de Jeanne, les Bertran(d) de Briquebec et les d'Harcourt. Jeanne épouse en premières noces en 1340, Guillaume Bertran(d), vicomte de Rocheville, second fils de Robert VIII Bertrand de Bricquebec et de Laurence du Merle (sœur du maréchal Foulques du Merle). Son époux meurt au cours de la bataille de Mauron en Bretagne le . En secondes noces, elle épouse Jean Ier de Luxembourg-Ligny ( 1364), fils de Waléran II de Luxembourg-Ligny, seigneur de Ligny-en-Barrois, de Roussy et de la Roche.
Jeanne fonde de son propre chef le , le prieuré hospitalier de Sainte-Élisabeth à Villers-Bocage. Dans cet endroit seront reçus et soignés les pauvres, les passants, les femmes enceintes et les orphelins jusqu'à l'âge de sept ans. Pour commémorer cet acte de bienfaisance, une rue de la ville de Villers-Bocage porte encore son nom aujourd'hui. Jeanne décède en 1376 et est inhumée dans l'abbaye de Saint-Évroult dans l'actuel département de l'Orne. N'ayant point d'enfant, la lignée directe des Molay Bacon s'éteint et l'héritage de la maison de Molay est dispersé entre les descendants indirects de la famille.[pertinence contestée]
[réf. nécessaire]

Héraldique

Blason
De gueules aux six quintefeuilles d'argent ordonnées 3, 2 et 1[55].
Détails
Il s'agit des armes de la famille Bacon à qui appartenait la seigneurie de Villers-Bocage.

Pour approfondir

Bibliographie

  • Henri Marie, Villers-Bocage : champ de bataille : le combat des tigres: Wittmann contre les rats du désert, Heimdal, 1993
  • Henri Marie, Villers-Bocage Normandy 1944, éditions Heimdal, 2011
  • Frédéric Deprun, Yann Jouault : Villers-Bocage, autopsie d'une bataille, éditions Heimdal, 2015

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de Villers-Bocage » sur Géoportail (consulté le 10 avril 2025).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. Sandre, « le fossé 04 de la commune d'Épinay-sur-Odon »
  5. « Fiche communale de Villers-Bocage », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  6. Sandre, « La Seulline »
  7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  10. « Orthodromie entre Villers-Bocage et Seulline », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Saint-Georges D » (commune de Seulline) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Saint-Georges D » (commune de Seulline) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Villers-Bocage », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caen », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  20. « Ouest-france.fr - Mairie de Villers-Bocage »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) (consulté le ).
  21. Histoire chronologique des chemins de fer européens et russes
  22. Wilez.com
  23. Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 74 (Villers-Bocage).
  24. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
  25. « CALVADOS (14) - Villers-Bocage », Accueil Municipales 2014 > CALVADOS (14) > V > Résultats reçus 1er tour, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  26. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  27. « Charles, Henri, Adjutor de Tilly (1755-1875) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  28. « Stanislas Meslé de Grandclos », sur https://man8rove.com/fr/ (consulté le ).
  29. « Les armateurs négriers de Saint-Malo », Saint-Malo > La Traite des Nègres, sur http://www.infobretagne.com/ (consulté le ).
  30. Annuaire du Calvados, année 1850, p.366
  31. « Maires et adjoints. Nominations. - Décrets du 21 janvier au 18 juin 1878 », Bulletin officiel du ministère de l'intérieur, no 5,‎ , p. 133 (lire en ligne [PDF], consulté le ), sur Gallica.
  32. Registres d'état-civil de Villers-Bocage 1893-1907, 1908-1930
  33. « Le maire, Xavier Lebrun, ne sera pas candidat », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Laurence Plainfossé, « Ancien maire et conseiller général, Xavier Lebrun s'est engagé pour le Bocage pendant plus de 20 ans : L'ancien maire de Villers-Bocage (Calvados), Xavier Lebrun, est décédé, mardi 3 janvier 2023, à l'âge de 76 ans, à la suite d'une longue maladie. Il fut aussi conseiller général du Calvados, de 1994 à 2008. Sa personnalité et son action ont profondément marqué la commune et le canton. », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  35. « Décès de Xavier Lebrun, ancien conseiller général du canton de Villers-Bocage : le communiqué de Jean-Léonce Dupont », sur calvados.fr, .
  36. « Marc Hébert a été élu 5e maire de la commune depuis la Libération », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Municipales à Villers-Bocage. Stéphanie Leberrurier a été élue maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne , consulté le ) « Lundi 25 mai 2020, Stéphanie Leberrurier a été maire de Villers-Bocage. Elle sera épaulée, durant ce mandat, de trois adjoints [...] Lundi soir, les vingt-trois conseillers l’ont élue à l’unanimité maire avec 22 voix et un blanc ».
  38. [1]
  39. « Stéphanie Leberrurier, maire de Villers-Bocage, entre au conseil départemental du Calvados », La Renaissance - Le Bessin,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Succédant à Sylvie Lenourrichel après sa démission, la maire de Villers-Bocage, Stéphanie Leberrurier, a pris sa fonction de conseillère départementale du Calvados en juillet 2025. ».
  40. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  44. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – US Villers-Bocage » (consulté le ).
  45. « Église Saint-Martin », notice no ACR0000833, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  46. « Église », notice no EA14000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des châteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du Chêne, coll. « Châteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 203.
  48. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 165 (cf. Villers-Bocage).
  49. « Moulin à farine dit moulin de Parfouru », notice no IA14001028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Moulin à blé dit moulin d'Amayé, actuellement maison », notice no IA14001034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « Usine de bonneterie A. Philips et ses fils, puis Edwige Edward's Etablissements Philips, puis Bernard-Philips », notice no IA14001014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Usine de chaux », notice no IA14001018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. « Usine de chaux », notice no IA14001013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. https://www.villersbocage14.fr/la-ville/histoire/
  55. « L'Armorial des Villes et des Villages de France - Villers-Bocage (Calvados) ».
  • Portail du Calvados
  • Portail des communes de France