VélôToulouse

VélôToulouse

Logo du service VéloToulouse à partir du 30 août 2024


Situation Toulouse, France
Type Vélos en libre-service
Entrée en service
Stations 403
Véhicules 2 600[1]
Fréquentation 4 358 801 emprunts par an ()[2]
Propriétaire Mairie de Toulouse
Exploitant JCDecaux
Site Internet [1]
Réseaux connexes TC à Toulouse :

 Train urbain
Métro
 Tramway
Téléphérique
​​​​​​​​​​​​​​​ Linéo (BHNS)
​​​​​​​​​​​​​​​ Autobus
Transport à la demande
liO Cars Occitanie
liO Trains - TER Occitanie
Autres réseaux :
-
- Citiz

VélôToulouse, est un système de location de vélos en libre-service mis en place sur la ville de Toulouse. Ces vélos sont parfois surnommés « les vélouses », un mot-valise formé à partir de vélo et Toulouse[3].

Ce service est disponible depuis le [4], il est géré par JCDecaux, et plus spécifiquement par sa filiale, Cyclocity[5].

À l'ouverture, 600 vélos étaient disponibles dans 60 stations. 135 stations et 1 470 vélos sont en libre-service, en , dans le périmètre du grand centre-ville. La mairie de Toulouse annonce pour la suite la mise en place de 10 nouvelles stations par semaine, jusqu'à arriver à 283 stations[6] et plus de 2 400 vélos[7].

Présentation

Le système, qui était à l'origine disponible de 5 h 30 à 2 h du matin pour la location d’un vélo et 24h/24 pour sa remise, est, depuis [8] ouvert à la location 24h/24.

En 2013, 30 stations supplémentaires sont installées et 300 vélos supplémentaires sont disponibles, ce qui porte à 283 le nombre de stations ouvertes et à 2 600 le nombre de vélos disponibles[9].

La flotte est composée au 2 septembre 2024 pour moitié de vélos mécaniques, et moitié de vélos électriques, environ 120 stations seront rajoutées dans les faubourgs avec un total de 3.300 vélos à disposition dans 400 stations[10].

Projets de développement

Territoires desservis

Aujourd'hui uniquement disponible sur la commune de Toulouse, le service devrait être étendu à partir de 2024 aux communes de Blagnac, Colomiers, Tournefeuille, L'Union et Ramonville-Saint-Agne[11] Aucamville, Quint-Fonsegrives, Labège et St Orens. La commune de Balma était également envisagée[12],[13], mais cette dernière a décidé de finalement créer son propre réseau[11].

Électrification du parc

50% du parc sera électrifié au 2 septembre 2024 (env. 1650 vélos).

Notes et références

  1. Chiffres clés 2016 VélôToulouse
  2. « Vélô Toulouse - Toulouse » (consulté le )
  3. « Xavier, marchand de vélos : “Le vélouse, c’est moi !” », La Dépêche,
  4. « VélôToulouse arrive... », sur ladepeche.fr (consulté le )
  5. A. Rancoule, « Un peloton de VelôToulouse est lâché dans les rues », sur 20 Minutes, (consulté le )
  6. S.M., « VélôToulouse : ça roule comme jamais », La Dépêche du Midi,
  7. « Un geste pour l'environnement », sur www.velo.toulouse.fr, (consulté le ).
  8. « VélôToulouse continue de faire peau neuve », sur www.velo.toulouse.fr (consulté le ).
  9. « La carte des nouvelles stations VélôToulouse », sur La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  10. « Détails des améliorations du service VélôToulouse en 2024 »
  11. Guillaume Laurens, « Toulouse. Stations en plus, vélos électriques… Le plan de la mairie pour réinventer VélôToulouse », Actu Toulouse,‎ (lire en ligne [html])
  12. Anthony Assemat, « Toulouse : voici les villes de l'agglo où pourraient débarquer les vélos en libre-service », Actu Toulouse,‎ (lire en ligne [html])
  13. Cyril Doumergue, « En ville, la bataille du vélo tourne à l’avantage de VélÔToulouse », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne [php])

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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